Lorsque dans une même semaine, vous recevez une menace de poursuite tout à fait futile de la part du barreau du Québec et une sommation à comparaître pour un crime que vous n’avez pas commis et dont vous êtes même la victime et, que vous avez antérieurement dénoncé les deux organismes d’où émanent ces actions, il n’y a en toute logique qu’une déduction possible à faire : « conspiration » et « vengeance ».

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Lorsque vous savez que votre droit à une défense pleine et entière à déjà été violé lors d’une conspiration précédente, celle qui vous avait amené à dénoncer ces deux organismes. Que vous savez donc que tout ce que vous pourriez faire pour vous défendre sera annulé par la malhonnêteté d’esprit et d’intention du tribunal devant lequel vous devez comparaître, le même que celui où tous vos droits fondamentaux ont été violés, par des juges et des avocats mandatés soit pour vous défendre, vous accuser ou juger, ces trois groupes de personnes travaillants main dans la main avec le ministère de la Santé dont vous avez dénoncé le ministre, les employés et les médecins, tout ce beau monde ayant pour bras armé le corps de police que vous savez impliqué de complicité dans ces conspirations: que vous reste-t-il comme option si vous savez incapable en santé de purger quelque peine de prison que ce soit, l’un de ces ministères s’étant déjà permit de vous torturer physiquement en vous privant de vos médicaments dans l’intention évidente de vous faire périr, ses médecins vous ayant menti dans le même but?

C’est simple à comprendre par une comparaison avec le jeu d’échecs. Lorsqu’un joueur constate qu’aucune stratégie ne pourra lui éviter le mat, il concède la victoire, félicite son opposant et se retire, le jeu étant terminé.

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Peut-être vais-je décider de rester un peu question de me laisser une chance de voir surgir un miracle d’inspiration qui me permettrait d’éviter la première option. J’ai un maximum de  quatorze mouvements de pièces devant moi.

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La situation dans laquelle je me retrouve pour avoir eu candidement cru en notre système de justice est plus que triste du fait qu’elle origine de la trahison de mon propre fils, de la méchanceté de ma bru, d’une vengeance d’une violence extrême de mon ex, de la complicité de mes médecins, du personnel de l’hôpital de Granby, et de la lâcheté des organismes institués pour me protéger de tels abus.

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Heureusement que j’ai accompli les tâches les plus importantes de ma vie et atteint les objectifs que je m’étais fixé pour cette dernière, mais c’est avec le regret d’abandonner mes occupations présentes qui consistent de fait à dénoncer les crimes et de la psychiatrie québécoise et de l’Islam, fonction dans lesquelles je trouvais beaucoup de satisfactions alors que j’avais enfin retrouvé ma joie de vivre en aimant tout le monde. Ce sera donc en paix et avec un pincement au coeur que j'irai finir mes jours en prison.