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Qu’est-ce que l’intimidation selon moi? Je n’ai certainement pas la réponse à toutes les questions, mais étant donné que je l’ai subie au quotidien dans l’enfance alors que mes parents changeaient de quartier chaque année, l’ayant subit ici de 2001 à aujourd’hui à Granby et même depuis 2014, de la part des autorités, j’en ai une opinion assez articulée, car c’est ce qui, à ce jour, m’a permis d’y survivre que de chercher à la comprendre.

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Disons tout d’abord qu’elle existe depuis toujours et on en retrouve les traces dans les textes anciens comme dans les livres religieux où, par exemple dans la bible, on appelle les «Bullies » les moqueurs dont il faut se méfier, car ils ne pensent qu’à mépriser leurs semblables, les ridiculiser, les rabaisser, leurs faire peur, de manière à les empêcher de connaître Dieu.

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Je ne vais pas ici vous faire un traité de religion, mais bien vous parler des formes que prend cette attitude de vie qui consiste à haïr plutôt qu’aimer. L’exemple le plus récent qui me vient en tête c’est celui d’un abonné de Twitter @NicReyF avec lequel j’ai échangé plusieurs heures, non pas en espérant lui faire changer d’attitude, mais bien pour lui permettre de déballer tout son arsenal de mépris et en prendre note pour l’un de mes prochains livres sur le sujet.

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Toujours il rabaissait mon intelligence, me disait incapable de rigueur scientifique, donc moins brillant que lui sans l’affirmer. Son autre arme favorite était le rire alors qu’il commençait souvent ces réponses par « ha, ha, ha ». En simple, le sujet de la conversation était le Pourriel parce que ma façon d’utiliser Twitter, disait-il, le dérangeait et empêchaient les abonnés du #Polqc de bien échanger sur la politique québécoise.

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La réalité c’était plutôt que ce « Hater » ce « Haineux » était un jeune libéral qui n’avait pas aimé mes accusations à l’endroit du ministre de la Santé Gaétan Barrette. Il agissait tout comme s’il avait été mandaté par le parti pour m’intimider. Lorsque je lui ai clairement signifié que moi, mon profil était ouvert, avec ma photo et mon numéro de téléphone sur tous mes sites, alors que lui se présente comme un gros chat, dont on peut douter du nom, il a refusé de me téléphoner pour aller un peu plus loin dans la conversation. Cette lâcheté est commune à tous les haineux, qui ne s’attaquent qu’à ceux qu’ils croient faciles à vaincre, en cachette, par derrière, hypocritement, lâchement, souvent à plusieurs, en mentant et surtout en faisant toujours preuve d’une parfaite malhonnêteté d’esprit.

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 Il ne trouvait qu’à défendre les criminels que je dénonce et, son bût d’ainsi agir est clair, se tailler une place d’intimidateur dans le parti. N’allez pas croire qu’ici au Québec, les baillons gouvernementaux aux dénonciateurs n’existent pas.

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Depuis le jour où j’ai commencé à dénoncer le système de santé, et l’islam, on a tout fait pour tenter de me faire peur, me ridiculiser, me rabaisser, ce qui est le propre de l’intimidation comme je le disais plus haut.

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Avant de me faire rosser de coups de pied en décembre 2015, j’en ai subi plus que ma dose de la part des autorités et je ne parle pas ici seulement des autorités officielles, mais aussi de l’ensemble des professionnels, mais l’accusation dont je dois me défendre ne pourra en tenir compte, je le sais bien.

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Mais réfléchissez un peu et demandez-vous comment il est possible que les policiers que « moi » j’avais demandé d’appeler, si je n'avais insisté, ne m’auraient même pas interrogé et pris comme vraie les déclarations du propriétaire de la pizzéria. Il m’a fallu leur rappeler que j’avais quand même droit au chapitre pour qu’ils daignent m’entendre, sans écouter bien sûr.

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Puis, j’ai dû insister pour qu’ils acceptent de prendre ma plainte, pour quelques 20 minutes plus tard, alors que j’étais en train de donner ma déclaration à l’un d’eux, dans sa voiture, l’autre ayant communiqué avec ses supérieurs, est venu me dire que je serais mieux de ne pas porter plainte, car je pourrais être poursuivi pour méfait public par le procureur de la ville, passible de cinq ans de prison, du fait que mes agresseurs ne confirmaient pas mes dires.

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Je lui ai expliqué qu’à 69 ans, l’on ne devient pas violent du jour au lendemain et que n’ayant pas de dossier criminel, ma parole valant bien celle de mes agresseurs, il serait difficile de me trouver coupable d’avoir eu dérangé la police sans motif raisonnable, définition que lui-même m’avait fournie de ce qu’était un méfait public.

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J’ai encore dû insister pour que l’on prenne ma plainte et l’on m’a dit que pour ce faire il me faudrait aller au poste de police. Naïvement j’ai dit allons-y. Je n’étais pas en état d’arrestation après tout, puisque l’on ne m’en avait aucunement avisé, et le restaurateur ayant refusé de porter plainte.

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Considérant le développement de l’affaire, je réalise aujourd’hui qu’ils me mettaient de fait en état d’arrestation. Donc, sans jamais me dire que j’étais en état d’arrestation, ni de quoi j’étais accusé, au poste on m’a fait enlever ma ceinture et vider mes poches avant de prendre ma déclaration. J’ai contesté la procédure, mais on m’a répondu qu’il en était ainsi pour tout le monde. Aujourd’hui, il est clair que l’intention première était de m’accuser de voie de fait armé (d’une fourchette blanche en plastic) alors que je n’ai attaqué personne et me suis juste défendu un peu en repoussant le restaurateur et c’est alors que ma fourchette l’a effleuré. La suite est simple, un deuxième homme m’a pris par derrière, m’a jeté par terre, m’y retenant pendant que l’autre me rouait de coups de pied.

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Ce qu’il importe de noter ici, c’est l’hypocrisie des policiers, qui de fait m’ont mis en état d’arrestation, sans me le dire. Ils vont certes dire que c’est faux, mais voyez-vous, comme je le disais plus haut, le mensonge fait partie de l’arsenal des intimidateurs. (Arrestation arbitraire ce qui est illégal)

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Ces policiers étaient certainement mandatés pour venger leurs deux confrères que j’avais dénoncés à la déontologie en 2014, pour manquement à leurs devoirs de prendre une plainte contre trois membres de ma famille, deux médecins, deux avocates et deux juges de Granby.

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C’est comme ça ici. Si vous osez utiliser les recours légaux et tout à fait normaux lorsque vous jugez avoir été abusé par le système, l’on se venge. Mensonge, hypocrisie, vengeance font partie de l’arsenal des « bulles » depuis la nuit des temps.

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L’essentiel de ce que je dénonce et qui m’amère tant de problèmes est d’une grande importance pour plusieurs professionnels du Québec qui en tirent de généreux revenus. Il s’agit des crimes de la psychiatrie québécoise, et  a commencé dès l’instant où j’ai contesté ce que l’on me faisait à ingurgiter et qui me rendait vraiment hors circuit.

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Mais, pour l’instant, revenons à l'hypocrisie des policiers et du procureur, car je ne suis pas passible de cinq ans comme ils m’ont dit, mais bien de dix ans ce qui signifierait pratiquement ma mort.

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Dès le début de l’histoire, j’ai constaté que quelque chose clochait parce qu’il n’y a eu aucune enquête. Le pseudo-enquêteur nommé au dossier faisait preuve de partialité évidente et il me fallait insister pour lui tirer les vers du nez. Je lui ai parlé deux ou trois fois et ensuite il ne retourna plus mes appels, alors que c’est moi qui avais porté plainte et il parlait de plainte croisée alors qu’il n’y avait en principe que la mienne, le restaurateur ayant refusé de porter plainte. Or donc, l’autre plainte dont il ne me parlait pas, était celle décidée d’avance par le procureur ou son intention personnelle de rédiger un rapport en ce sens.

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Alors, on refuse de prendre mes plaintes lorsque je dénonce le système de santé et de justice, le travail des policiers, des avocats, des juges et des médecins. L’on essaie de me faire taire avec des coups de pieds au ventre et au visage et comme ça ne suffit pas, l’on veut me mettre en prison pour y crever.

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Lorsque, en 2014 j’ai demandé à ma pharmacienne comment cesser la médication prescrite par une psychiatre de Granby, sans besoin, après l’avoir eu contactée, m’a donné deux dispils à prendre entièrement durant deux semaines. Je n’ai pas porté attention au fait qu’il n’y avait aucune réduction graduelle, ce qui est la bonne façon de cesser une médication.

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La première semaine n’était pas terminée, que je me suis mis à chier du sang et à devenir confus comme jamais de toute ma vie. J’ai moi, réduis graduellement la dose. J’ai quand même chié du sang durant huit mois, mais ça ne m’a pas tué. Je passe ici des détails importants concernant les cliniques et l’hôpital de Granby ou je n’ai été opéré que huit mois plus tard donc.

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Lorsque j’ai commencé à émerger de cette confusion et à encore dénoncer, l’on m'a fait enfermer de manière tout à fait illégale. Lors de cette hospitalisation, l’on m’a privé intentionnellement de mes bêta bloquants lesquels régulent ma pression artérielle durant 12 jours en prétextant un manque à la pharmacie de l’hôpital.

 

Comment croyez-vous qu’ils me traiteraient en prison?

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Lorsque j’ai refusé de prendre certains médicaments antipsychotiques, la psychiatre m’a menti sur la nature de ce qu’elle me prescrivait qui était de fait un des pires antipsychotiques aux effets secondaires irréversibles.

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Je suis en détresse respiratoire depuis ma sortie de cette hospitalisation d’à peine deux semaines et j’ai souffert le martyre et d’importantes paralysies, mais ça ne m’a pas tué. Il y a quelques semaines, j’y dû être conduit à l’urgence avec un apport maximal d’oxygène et là, on a joué de moi, ne me fournissant pas l’information à laquelle j’avais droit, me prescrivant des examens qui n’arrivaient pas et me mentant à tour de bras sur le plan de match, comme on dit.

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Lorsque j’ai décidé de retourner chez moi, constatant qu’on allait continuer ainsi jusqu’à prétexter que mon mal devait bien être psychologique, on a utilisé la force physique pour essayer de m’empêcher de sortir et lorsque j’ai insisté, on m’a forcé à signer une décharge en toute illégalité.

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Que croyez-vous qui va m’arriver ce 11 juillet et peut-être même le 4, lorsque je devrai aller au poste de police faire prendre mes empruntes?

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La situation est très claire quant à moi. J’ai perdu ce combat. Je n’en éprouve aucune honte, car perdre contre une telle machine, quand on est seul à se battre, personne de tous ceux à qui j’ai demandé de l’aide, n’ayant donné suite, c’est tout-à fait normal de perdre. Je suis quand même content de mes choix d’attitudes.

Intimidation

Summertime - Carmen Monarcha
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