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Ma grande tristesse lorsqu’elle émerge de ma joie de vivre, car elle ne peut être complètement étouffée, survenant parfois en rêves où l’époque devance tous ces évènements, alors que mon amour pour les miens est encore naïf, fait de fierté et d’émotions au son de la voix de mon fils, c’est que personne n’ait voulu cueillir les fruits de ma vie.

 

Après tout, je me suis arraché à la schizophrénie si j’étais effectivement schizophrène, aux phobies sociales et crises de paniques que rare réussissent à vaincre ceux qui en souffre, à l’alcoolisme alors que ça fait deux ans que je bois sans jamais m’enivrer, ce qui remet en question plusieurs des prétentions théoriques de la psychiatrie.

 

Non seulement je me suis guéri de ces maladies ou maux de la vie, mais j’ai su transformer ma souffrance en amour pour tous, car j’ai compris qu’il est toujours plus facile d’aimer tout le monde que de n’en aimer que quelques-uns qui forcément un jour vous décevront.

 

Mais ici au Québec, les vieux sont des déchets à éliminer du paysage dans une société superficielle qui veut imposer sa religion débile du consumérisme. Où il ne faut pas faire chier en étudiant, où il faut tuer, massacrer et jeter ceux qui ne pensent pas comme nous, où l’on désigne comme ministre de la Santé un spécialiste du profit, où nos dirigeants n’ont tellement pas de colonne qu’ils tolèrent des discours de mépris de la part de ministres et où, quand bien même l’on appelle à l’aide plus de cent députés, chacun se défile avec des excuses régionalistes, ou donc personne ne se sent globalement responsable ni n’a même le droit de parler de ce qui concerne la totalité de la population, où le premier ministre lui-même et le ministre concerné par la dénonciation de crimes graves, ne se donnent même pas la peine d’écrire un mot au citoyen qui dénonce et les délégués abandonnent le suivi de telles affaires sans jamais chercher à en investiguer le fond et se permettent peut-être même de mandater des haineux pour tenter d’intimider et ballonner le dénonciateur.

 

Au niveau de la société elle-même, les enfants abandonnent leurs parents, les casent dans des maisons spécialisées comme les résidences Landry où ils sont violés allégrement dans leurs droits sans jamais intervenir pour les défendre. Ils vont mourir bientôt se disent-ils, quand ils ne le souhaitent carr.ment pas.

 

J’ai vu une avocate représentante de l’aide juridique, dans une cause de la régie des loyers, mépriser une vielle femme avec une telle impolitesse, un peu comme une chienne enragée à Cowansville, une juge de cette même cour à Granby, faire preuve d’intimidation envers toutes les personnes présentes, impolie comme une vache mal léchée, un citoyen dans une clinique médicale me dire que les vieux dépensent tous l’argent du système de santé et devraient être euthanasiés, des avocats refuser une cause s’opposant à des confrères, ou le corps policier, tous les médias ne jamais répondre à de multiples appels à l’aide, la Voix de L’est journal local agir en toute partialité, TVA promettre un retour d’appel jamais respecté, le Journal de Montréal presque me couper la ligne au nez en prétextant un rendez-vous, Radio-Canada supprimer 42 mots d’un texte citant textuellement le Coran, les emlpoyées musulmanes de Belle Canada me mépriser ouvertement parce que j’ai un blogue critiquant les versets de violence du Coran, une cinquantaine de femmes et d’hommes d’affaires de Granby refuser de s’impliquer dans la dénonciation du terrorisme, un magasin de vélo m’assurer de pouvoir réparer ma mobilette électrique pour rire de moi lorsque je suis arrivé exténué de l’avoir eu poussé plus d’un kilomètre (145lbs), le dr Réjean Ménard refuser de me soigner alors que je lui disait souffrir le martyr, avec un sourire mesquin, un inhalo thérapeute m’interdire l’oxygène, une infirmière employer la force physique pour m’emp^cher de quitter l’hôpital et m’obliger sous la contrainte à signer un document de décharge, un préposé de l’hôpital me bousculer parce que je refusais de porter la jacquette qu’il essayit de m’imposer, un médecin me mentir pour me faire avaler un poison, un médicament que j’avais formellement refusé, trois jusges m’interner parce que je refusais de prendre tel ou tel médicament et rédiger un ordre de cour me forçant à recevoir des injections qui me rendaint hors de moi-même, m’interdire de chanter, de parler de tel ou tel sujet, m’attacher, me forcer à manger alors que j,ai pleinement le droit de refuser quelque nourriture que ce soit, violer mes droits fondamentaux à la pratique religieuse de mon choix, m’accuser d’euphorie si je riat, de dépression si je pleurais, d’idée de grandeur si je disais voiloirs écrire un livre alors que dans la même année j’en ai punliés plusieurs, accepter comme vrai et prouvé une allégation de mon ex à l’effet d’un acte de violence datant de 40 ans qui était absolument faux et motivé par une vengeance, me diagnostiquer comme souffrant d’une sur utilisation de mes ordinateurs alors que je suis bloguer, écrivain et programmeur analyste, mon avocate Pasquale Gauthier faire le travail de la couronne pour me faire enfermer alors qu’elle faisait partie du conseil d’administration de l’un des organisme parallèle de la psychiatrie, un juge François Marchand, me faire un discour de parrain des ALcooliques anonymes et me condamner sans avoir eu considéré l’un qulconque de mes arguments de défense, cette Pasquale Gauthier n’appeller aucun témoin, ne défendre aucun principe de loi et ne plaider que quelques secondes, les policiers de Granby refusé de prendre ma plainte contre un complot ou une conspiration de ma famille et mon médecin, mon médecin justement donner un prédiagnostique sans m’avoir eu examiné ce qui annulait pratiquement toute défense de ma part, les psychiatres prévus en examen de contrôle toujours copier le rapport du premier, un psychiatre le Dr l’Espérance me diagnostiquer en psychose en moins de 15 secondes sans que j’ais eu répondu à une seule question, les organismes d’aide aux familles toujours travailler contre les malades, préparant les causes des familles alors que les malades eux n’ont aucun moyen de préparer leurs dééfeses, l’hôpital de Granby user de tous ses moyens pour préparer les causes qu’il présente contre les malades alors qu’eux sont privés de tous moyens et enfermés pendant qu’une équipe impliquant, deux médecins, des avocats, des infirmières, la famille et qui sait d’autre dispose de moyens extraordinaires en comparaison, j’ai v ici à Granby tant de mépris pour les migrants que j’ai dû à plusieurs reprises intervenir, et j’en passe.

 

Le Québec me déçoit à tel point que je voudrais ne jamais y renaître, car je suis convaincu de la réincarnation que j’ai démontré inévitable dans mes écrits, ce qui est un droit fondamental, mais que je sais être ouvertement contesté ce qui est aussi un droit que je respecte. Mais chose certaine, le Québec étant devenu une terre de violations des droits fondamentaux, je ne voudrais y revivre, car je suis un homme libre. D’ailleurs, on a déjà utilisé le fait que j’affirmais être un homme libre pour contester mon équilibre psychique, ce qui montre à quel point la Dre Huppé peut être mesquine et idiote dans ses arguments. Le plus beau, c’est que le juge en a convenu et m’a fait enfermé parce que je refusais la médication que l’on voulait m’imposer et j’ai dû endurer des inspecteurs au quotidien qui me forçsit à avaler ce que je savais allait me rendre malade.

 

J’ai donc vu plus de haine que d’amour en ce bas monde, plus de malhonnêteté d’esprit et plus de mensonges que de vérité et c’est pourtant la vérité sur moi-même qui m’a libéré de toutes mes maladies.

 

J’avais des trésors à offrir et personne n’en a voulu. Un vieux est une mine d’or enfoui sous quelques centimètres à peine, mais ils ne l’ont point vu.

Épilogue

Lettre à mon frère - Félix Leclerc
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