Certains diront que ce qui m’a été fait n’est pas si grave, que deux semaines forcées en psychiatrie ça n’est pas la mer à boire. Eh bien, je vais vous dire clairement quelles ont été les conséquences de ces mensonges et allégations de la part de ma bru, mon fils et mon ex.

 

Tout d’abord de me faire enfermer chez ceux-là mêmes que j’avais dit être des agresseurs ce qui leur a permis de m’abuser encore une fois en me faisant ingurgiter un cocktail de médicaments soigneusement mixé pour me rendre aussi malade que je le suis depuis ma sortie de cette hospitalisation forcée.

 

Ensuite, comme la police a refusé de prendre ma plainte contre ma famille, les médecins, avocats et juges impliqués, ça m’a fait perdre confiance en la police  puisqu’elle refusait de me protéger.

 

Puis ce fut la déontologie policière, le barreau, le collège des médecins et la magistrature, sans compter les centaines de personnes à qui j’ai demandé aide et même Dieu puisqu’il a permis toute cette merde et n’a jamais répondu à aucune de mes prières, moi qui avais jeûné et prié plus que quiconque j’ai bien l’impression. J’y ai donc perdu ma foi qui bien que naïve, m’avait jusqu’à ces évènements toujours réconfortés.

 

Ce furent ensuite mes comportements alors que désormais je me méfiais de tout ce beau monde. J’ai commencé par me barricader, soit en plaçant des meubles ou autres articles devant servir à retarder l’entrée de quiconque allait décider d’entrer de force.

 

Puis, j’ai commencé à chercher des objets pour me défendre: marteau sous mon oreiller, sur mon bureau, etc. Non, mais, quand le fait de porter légitimement plainte contre des professionnels vous conduit à être roué de coups, il est tout à fait normal et rationnel d’essayer de prévoir la prochaine attaque.

 

Puis, de penser à ainsi éventuellement devoir me défendre, j’ai évalué mes chances de survie moi qui suis en détresse respiratoire permanente depuis cette foutue médication et conclus que je n’avais que quelques secondes pour le faire ce qui implique de devoir porter un coup fatal.

 

Cette réalité m’a fait remettre en question toutes mes valeurs morales sur le fait de tuer peut-être un jour pour sauver ma vie, surtout que mes ennemis sont socialement respectés. C’est de fait une organisation criminelle, mais elle est protégée de toute part par l’autorité gouvernementale et médiatique. Pas facile de faire de telles réflexions.

 

Puis, moi qui tirais ma fierté des combats que j’ai menés et vaincus comme la schizophrénie et les phobies sociales graves, j’ai vu ma dignité s’effriter de par ces poursuites mesquines et vengeresses du barreau, de la déontologie et des procureurs de ma ville.

 

Je le répète, comment désormais espérer veiller en paix quand je sais d’expérience qu’à l’hôpital on me maltraitera puisqu’on l’a déjà fait, que si je porte plainte personne n’écoutera et que l’on ira jusqu’à se venger, que personne de ma famille ne sera là pour me défendre puisque c’est grâce à leurs lâchetés qu’aujourd’hui j’ai tout le monde à dos. Enfin, «tout» est un bien grand mot. Disons, une centaine.

 

Ce qui m’amène à parler d’eugénisme, car je réalise bien que bien que j’habite à Granby depuis 2001, je n’y suis en rien considéré comme citoyen tout comme les immigrés au Québec, parfois même après plusieurs générations, ne sont pas considéré être de vrais Québécois.

 

L’eugénisme est à base de racisme et le racisme au quotidien lui est à base de communautarisme ou esprit de clan ou l’on ne se sent responsable que de sa famille ou son groupe social, alors que tous les êtres humains devraient bien réaliser un jour que l’on a pas le choix que d’être responsables les uns des autres et c’est la nature même de l’univers qui impose cette loi, mais ce sujet est trop vaste pour être développer ici. 

 

Les vidéos qui suivent en dressent un portrait éclatant de cet eugénisme qui s’est développé du racisme. On y voit aussi clairement le rôle des psychiatres. N’allez pas vous dire que cette histoire est du passé. Au contraire, elle est plus actuelle que jamais.

 

Pensez aux films qui exposent une situation où la planète est menacée de destruction et où l’on doit sélectionner qui survivra peut-être à bord d’un vaisseau spatial quelconque. La terre est actuellement menacée, c’est une réalité absolue. De plus, la menace de surpopulation gronde depuis longtemps chez les penseurs de la psychiatrie, pseudoscience dont le but actuel est de rendre les gens tous un peu semblable aux autres au nouveau comportemental et celui plus délicat des émotions.

 

L’on expérimente des drogues affreuses sur nos militaires quand les patients de la psychiatrie manquent et cette façon de faire est plus qu’avantageuse au sens où les soldats doivent obéir sous peine d’e^tre exposés à la loi martiale.

 

L’eugénisme n’aura pas grand-peine à s’imposer si on la vend en commençant par éliminer telle ou telle catégorie de gens plus méprisée que les autres. Puis il y en aura une deuxième et ainsi de suite.

 

Mais ça ne suffit pas. Cette épuration se fait et se fera aussi hypocritement en mentant aux gens sur ce qu’on leur prescrit comme médicaments, comme ma psychiatre Dianne Huppé a fait avec moi. Je ne représente que 1/ 7,4G de population, mais je parle, je dénonce et la psychiatrie et la justice complice et les ministres, donc l’autorité ultime.

 

Je vous le dis, ils iront jusqu’à museler tous les dénonciateurs, déjà sur le Web, la chasse aux sorcières est commencée. L’on bloque systématiquement de façon anonyme et sans recours les gens comme moi qui osent parler de ce projet.

 

Il en reste certes quand même quelque chose, car ils ne peuvent tout bloquer, mais le processus est bien enclenché et le pire c’est que c’est avec la complicité des grands médias.

 

Nos démocraties sont soumises à une attaque plu que terroriste, mais une attaque sournoise, un cheval de troie, la médecine psychiatrique.

 

C’est pourquoi, habitant le sommet de cette tour démocratique en tant qu’écrivain dénonciateur (Whisselblower) sachant que les ascenseurs et escaliers ne sont plus utilisables, je me retrouve face au même choix que ceux qui ont choisi de sauter dans le vide. Avec en plus, une centaine de personnes qui me poussent dans le dos.

 

N’oubliez jamais que l’eugénisme ne voudra pas plus que les gens soient libres de parler que nos démocraties l’ont voulue, ils voudront des gens obéissants à n’importe quoi sauf pour une élite choisie dont les consciences seront achetées par d’énormes avantages, une race de princes, de régents, la haute société, la noblesse sans le concept.