En résumé, ne pouvant espérer ni justice, ni aide, ni support de mes semblables, comme un pilote abattu en camp ennemi se sachant déjà gravement blessé et donc ne pouvoir espérer survivre à la torture, je décide d’avaler ma pilule d’auto-euthanasie.

 

Il n’y a pas que Pasquale Gauthier qui m’ait floué en représentation, mais toutes celles qui ont prétendu me défendre les fois où j’ai été interné de force, alors que mes arguments étaient de fait plus que défendable en principes de justice. 

 

Mon dossier médical de plus de 10,000 pages, pour lequel j’ai dû payer $1,225.00 alors que ce dossier m’appartient de plein droit, par une formalité de fourniture papier, alors que c’est moi le contribuable qui le paie ainsi que l’équipement de reproduction et les salariés impliqués, niant pratiquement la prétendue gratuité de ce document, en témoignera s’ils ne le font pas disparaitre.

 

Ce même document prouvera également le fait que je n’ai jamais manifesté quelque violence que ce soit, qu’au contraire l’on me disait pleinement coopératif et même me citait comme l’un des meilleurs espoirs de l’équipe d’assassins qui me traitait.

 

L’on pourra y trouver, en principe, toutes mes déclarations. Ce qui sera évidemment caché sera les faux témoignages des gens qui sont intervenus dans mon dossier, m’accusant quasi anonymement, sans que je puisse répliquer d’on ne sait quoi, ce qui fait de ce système une pratique de justice arbitraire et sans recours.

 

Si je n’avais été trompé qu’une seule fois par les psychiatres, les avocates et les juges comme le corps de police de Granby, j’aurais probablement passé l’éponge, mais ces façons d’agir sont tout à fait méthodiques et systématiques ce qui fait des gens qui le pratiquent une association de criminels.

 

Des gens meurent chaque année au Québec à cause des crimes de la psychiatrie et de la justice intentionnellement aveugle face à ses abus. Je n’en suis qu’une de plus. Le Bulliying ou intimidation, c’est bien connu, pousse les gens au suicide et il est pourtant interdit et criminel d’agir de manière telle dans nos lois.

 

En tant que survivant de l’inceste et de la torture, je sais reconnaitre les comportements des lâches qui permettent ces crimes où la victime est toujours l’accusée. À l’âge de trois ans je n’y pouvais rien et dans la situation présente l’on me replace quasiment dans a même situation me refusant aide et justice.

 

Je suis bien décidé cette fois à ne laisser personne me faire perdre mon identité en attaquant ma dignité humaine. Le simple fait de m’accuser moi du crime dont je suis la victime est une attaque de front à cette dignité, alors que comme l’a avoué Martin Daigle l’enquêteur au dossier, il n’y a eu aucune enquête ce qui démontre clairement la partialité de tous les intervenants dans ce dossier, car on a «voulu» croire de manière tout à fait mal intentionnée, que les agresseurs eux, disaient la vérité alors que l’on avait décidé que moi, je mentais comme les enfants qui dénoncent leurs parents indignes.

 

L’un des points les plus importants est que si l’on a pu se permettre de me torturer physiquement dans le milieu hospitalier, il m’est raisonnable de croire qu’en milieu carcéral, l’on ne se gênerait pas pour faire encore pire et que si même, par chance, j’y survivais, ma dignité elle en serait morte et sans recours aucun contre mes tortionnaires.

 

Il devient donc facile d’identifier les coupables. Ce sont tous ceux qui ont contribué de près ou de loin à cette hospitalisation forcée où l’on m’a même obligé à rédiger un document mettant en cause mon équilibre psychique. 

 

En 2014, j’étais confus certes, mais c’était à cause du copinage entre Isabelle Dupont et Diane Huppé pour me faire ingurgiter une chimie destructrice qui m’a plongé dans la pire épreuve de ma vie, la plus grande confusion de ma vie, qui m’a fait dépensé $10,000 dollars en deux mois, sous les incitations de mon fils principalement, dépense auxquels j’avais plein droit, car n’ayant jamais été placé sous tutelle, pour lesquelles dépenses on m’a enfermé.

 

Ici à Granby, l’on est traité comme si on était en tutelle sans l’être, on est traité comme en état d’arrestation sans l’être, comme personne violente et dangereuse sans l’être, comme criminel sans dossier criminel, sur simples allégations sans jamais que lon demande de preuves aux accusateurs, mais toujours à l’accusé.

 

Étant donné la nature systématique de ces crimes, de ces violations éhontées des droits fondamentaux de la personne, cette contestation ouverte donc de la déclaration universelle des droits de l’homme, en toute violation de l’article 30, je crois légitime de demandé à ce que le Québec soit traduit devant la cour pénale internationale pour crime contre l’humanité et mis sous tutelle jusqu’à condamnation des coupables.