Si l’on additionne les décès d’enfants de moins de 5 ans cette année, les décès de mères durant un accouchement cette année, les décès causés par le VIH/SIDA cette année, les décès causés par le cancer cette année, les décès causés par la cigarette cette année, les décès provoqués par alcool cette année, les décès provoqués par alcool cette année, les décès par suicides cette année on obtient un total de 1,4 million de morts, soit un 6e du nombre des avortements. Pensez-y ! Considérez ce que cela dévoile de la mentalité humaine. 7 fois plus d’avortements que tous ces décès mis ensemble.

 

Le plus inquiétant c’est qu’à cette même heure, 90 millions ont déjà été dépensés en drogues illégales et aussi que ce nombre d’avortements est trois fois supérieur au nombre de personnes mortes de maladies contagieuses.

 

Je suis ce genre d’homme qui se préoccupe de ces choses. J’ai toujours été inquiété de certaines statistiques, mais depuis que ce manque de sens des responsabilités humaines en a conduit quelques-uns à vouloir me faire disparaître et qui y ont presque réussi, allant jusqu’à me rouer de coups de pied au visage et au ventre il y a à peine cinq mois, je m’en inquiète beaucoup plus et poussé aux limites de mes capacités d’endurance, j’ai été forcé de comprendre et le pourquoi il en est ainsi, le comment, l’avenir que ça nous promet autant que ce qu’il y a de mieux à adopter comme comportement face à cette situation.

 

Ma vie a été faite d’épreuves les unes après les autres et j’ai appris de ces épreuves le comment être heureux, le bonheur ai-je compris, émerge de la satisfaction de soi-même. Rappelez-vous cette chanson des années 1970. « I can’t get no satisfaction ». À partir de cette époque, nos jeunes n’arrivant pas à trouver satisfaction des types de bonheurs proposés par la société de marketing déjà très efficace se sont tournés, comme bien des adultes d’aujourd’hui, vers un mode de vie fait de divertissements.

Moi, de 1976 à il y a aujourd’hui, j’ai étudié tout ce dont j’avais besoin pour comprendre. L’un des premiers pères célibataires du Québec, j’ai du en tout premier lieu, apprendre un métier payant et alors que j’avais commencé à travailler à 14 ans, donc sans instruction, je suis devenu maître-frigoriste, maître-chauffagiste, maître-plombier, compétant en matière de gaz naturel et propane à tous les niveaux, administrateur, représentant, collecteur, négociateur, entrepreneur spécialisé desservant une clientèle strictement industrielle, institutionnelle et commerciale de masse, pour ensuite me recycler en programmeur-analyste, développeur de logiciels, puis j’ai tout abandonné pour aller vivre à la rue et une fois revenu en société, je suis devenu théologien-philosophe au sens où ma compréhension des « choses divines » dirons-nous, est faite de sérieuses analyses méthodiques ayant aussi acquis un certificat universitaire en méthodologie de travail intellectuel et en gestion média.

 

De plus, je ne me suis pas contenté d’étudier, mais aussi d’appliquer à mes recherches la méthode scientifique de l’expérience. Par exemple, un ami m’avait fait lire un livre sur le jeûne en 1992. Eh bien, j’ai fait plus de 150 jeûnes dont trois de 55 jours et quelques heures, car mon objectif était fixé à 55 jours sans une seule calorie et j’ai même expérimenté le jeûne absolu, soit sans eau non plus, durant 28 jours.

 

Tout ça pour dire, que je ne me contente jamais de demi-mesures face à une difficulté quelle qu’elle soit et que les résultats de mes recherches ont la valeur combinée de l’étude et de l’expérience.

 

Si donc je me donne la peine d’écrire, c’est que j’ai des choses vraies et importantes à transmettre au plus grand nombre de gens possible. Je n’ai ni famille ni, mais. Personne n’arrive à m’endurer, car, j’ai cette fâcheuse habitude de dire le fond de ma pensée, sans aucun scrupule. Ce dont les gens ont le plus peur, c’est de manquer de l’essentiel et c’est cette peur qui les pousse à se conformer à un mode de vie où les uns écrasent les autres sans même se l’avouer.

 

Chacun se dit soldat sous les ordres d’un haut commandement et l’on se fait répondre lorsque l’on évoque le manque d’honnêteté d’un représentant de telle ou telle autres entreprises ; « Je n’y peux rien. Je ne suis qu’un employé. » Ce qui est tout à fait identique au soldat qui commente les pires atrocités les yeux fermés, prétextant être sous les ordres d’un supérieur quelconque.

 

Nous vivons désormais dans un monde ou chacun ne pense qu’à sa poche et je suis un dénonciateur, provocateur, souvent grossier et parfois même cruel, quad je me rends compte qu’une personne voulant se servir de moi ne peut rien comprendre par le savoir-vivre et la politesse. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle je n’ai plus de famille.

 

De fait, je suis grand-père de deux gentils petits-enfants qui pour les voir une fois en un an, j’ai du envoyer une mise en demeure à mon fils et ma bru. Je n’ai pas de limites en détermination.

 

Ce caractère, je l’ai acquis au travers des abus dont j’ai souffert. À commencer par mon père qui pour me la fermer alors que je m’apprêtais à dénoncer sa pédophilie, m’a collé sur le poêle à bois brûlant. Je n’avais pas encore trois ans. Ma mère se plaisait à dire : « Il n’a peur de rien le p’tit juif. » Semble-t-il que même les enfants sans peur peuvent être terrorisés, car cette aventure m’a plongée dans un monde artificiel, tout en construction de fausses croyances dans ma tête ?

 

J’ai mis 66 ans à m’extirper de cette terreur qui me survenait ici et là au cours de ma vie, sans crier gare, et sans que je sache pourquoi. Mais, mon esprit analytique et ma détermination m’avaient fait garde mémoire de certains faits, dont une chanson anglaise qui jouait lorsque ma mère prenait soin de mes brûlures en pleurant.

 

J’avais fait comme le petit Poucèt. Marquer cet instant d’une chanson. En fait, de quelques mesures, mais ce sont ces notes de musique qui m’ont fait retrouver tous mes esprits, toute ma lucidité. Elles m’ont servi de balise, comme lorsque j’ai atterri, le ou certainement l’un des premiers à Mirabel avant même l’inauguration de cet aéroport avec un petit Cessna 150.

 

J’ai tout fait pour me débarrasser de cette terreur qui parfois, trop souvent, me paralysait. Des cours de personnalité, des psychothérapies expérimentales, trois psychothérapies cognitivocomportementales, fréquentées des sectes hindoues, suis devenu bouddhistes, chrétien pseudo né de nouveau, puis libre penseur agnostique. Tout ça à partir d’un vécu religieux plus que particulier, car, mon ancienne none de mère, avait décidé de me consacrer prêtre à l’âge de sept ans, en m’offrant pour mon anniversaire, un calice, un ciboire et un ostensoir plaqué or, prenant soin de m’enseigner la célébration de l’eucharistie.

 

Heureusement que j’ai un esprit de chercheur et que j’ai toujours pris des notes concernant mon vécu dès le drame du poêle à bois. C’est cette habileté alliée à ma détermination qui m’a sauvé la vie. Non sans effort bien sûr.

 

Par exemple pour aller vendre, souvent en direct sans rendez-vous, il me fallait préparer deux fois plus d’interventions que nécessaire, car je savais d’avance que j’allais paniquer une fois sur deux. Je sombrais dans un état dépressif à chaque expérience de ce genre, mais je me relevais les manches et me disait ; « Tu ne te décourageras pas. Un jour, tout ça sera du passé. » Et c’est le cas aujourd’hui. J’ai retrouvé mon caractère naturel. Je n’ai peur de rien ni de personne. C’est moi.

 

Je vos raconte en terminant une anecdote où vous comprendrez bien mon caractère. C’était en 1979. Je travaillais pour la plus grande entreprise de service mécanique industriel de l’époque. J’étais appelé en urgence à toute heure du jour et de la nuit, jusqu’à Wabush Labrador pour identifier la source des problèmes de chauffage. J’ai commis l’erreur d’essayer de me confier à un collègue et j’ai été congédié quelques jours plus tard.

 

J’étais vraiment dans le pétrin avec mon fils de six ans et demi à garde, sans véhicule parce que j’en avais un fourni par la compagnie et l’école privée me coutait 1 200 $ par mois, en plus de toutes les dépenses de base.

 

Mon cousin insistait depuis plus de 15 ans pour que je m’associe avec lui. Il était maître-plombier et avait pour principal client : « Les Villas du Poulet Kentucky ». Alors, du bureau de l’employeur qui venait de me congédier, je l ‘ai appelé et lui ai offert quelques-uns des gros clients de cet employeur un peu trop rapide sur la gâchette congédiement.

Il a accepté et m’a demandé de l’aider à solutionner de graves problèmes chroniques de réfrigération de son client principal. Je ne connaissais rien de la réfrigération à l’époque. Eh bien, je suis allé rencontrer le gérant général de l’équipe d’entretien de ce Poulet Frit Kentucky et lui ai proposé mes services en tant que spécialiste en réfrigération. Je suis un excellent vendeur ayant été assureur-vie dans mes jeunes années. Il a accepté. De ce jour et pour près d’un an, nous lui avons facturé plus de $200 000,00 dollars.

 

N’allez pas penser que j’ai arnaqué cette chaine de restaurants. Non ! J’ai mis mes talents à l’œuvre, me suis procuré cinq livres sur le sujet, me suis tapé des centaines et des centaines de pages de lecture et il me fallait relire jusqu’à trois fois, car ces livres étaient tous en anglais, langue que je comprenais à peine.

 

En moins de deux mois, j’ai été certifié maître frigoriste par la Corporation des Maîtres Mécaniciens en Tuyauterie du Québec et j’ai résolu tous les problèmes de réfrigération de notre client.

 

Voyez-vous, c’est comme ça que je suis. Je ne demande jamais de permission à qui que ce soit pour faire ce que je juge devoir faire pour arriver à gagner ma vie ou défendre mes droits. C’est pour ça que mon fils, ma bru et mon ex, se ont complotés avec mon médecin pour me faire enfermer plus de deux semaines, avec de faux témoignages, des accusations mensongères, de la malhonnêteté d’esprit comme c’est impossible à imaginer.

 

Mais, encore là... Ils n’imaginent pas ce que ça va leur couter. Je ne laisse jamais personne me faire du mal gratuitement et ils m’ont fait plus que du mal. Ils ont violé tous mes droits fondamentaux, tous les droits inscrits dans la Déclaration universelle des droits de l’homme, de la Charte des droits et libertés du Québec et du Canada.

 

Je ne me vengerai jamais par de tels moyens moi. J’ai élaboré une façon beaucoup plus efficace à long terme qui de plus, servira à défendre les droits de plusieurs. Étant donné que personne n’a bien voulu m’aider, ni organisme de protection, ni médias pour simplifier, j’ai créé un site de dénonciation post mortem. Le principe est simple, la vérité publier quelque temps après ma mort et tout le monde peut faire de même.

 

J’arrête ici, car 2000 pages n’ont pas à date suffi à tout dire, mais comme vous pouvez le faire à partir de toutes les pages de ce site, n’hésitez pas à me contacter si vous avez quelques questions que ce fût à me poser. Ça me fera plaisir de vous répondre.

 

Sincèrement,

 

Serge-Carmel Bourget

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