On a tenté de m’intimider en venant me rouer de coups de matraque, en pleine nuit, chez moi. Je déteste la peur.
Quand les commis d’épicerie sont investis du pouvoir de vous expulser d’un lieu public sous un prétexte de santé, les ministres se conduisent comme des Mafieux et ils méritent ainsi la peine maximale prévue pour leurs crimes qui le sont, ipso facto, contre l’humanité.

Nous vivons l’époque la plus importante de toute l’histoire de l’espèce humaine, qui est jonchée de crimes de guerre. Nous en sommes à la 3e mondialement, et celle-ci est très particulière parce que, dans le fond, elle se déroule à l’intérieur ou de nous-mêmes, en chacune de nos pensées, dans nos réflexions, dans nos angoisses, dans nos inquiétudes, dans nos élans, dans nos choix. Nos divisions sont illusoires, mais nous les voulons tellement ces divisions qui ne demandent presque pas de réflexion et nous permettent de reconnaître qui est utile à nos plans de vie et qui est nuisible. Notre prisme de pensée principal d’évaluation est utilitariste.

Nous sommes aveugles. Nous ne voyons que la surface des choses, que les apparences et nous avons appris à juger de toute chose, le plus simplement possible, de manière à ne dépenser que le minimum d’énergie. Notre cerveau consomme 20 % de notre énergie, toute dépense supplémentaire allouée à la mentalisation d’un problème, nous épuise parce que pas assez entrainé à penser correctement les problèmes.

Sans une refonte complète de nos modes de vie, la terre ne pourra plus nous supporter. Les ressources sont limitées et notre consommation est exponentielle. Le système va briser sec.

L’être humain déteste le changement, pour les mêmes raisons qu’il s’économise en réflexion. Il n’est plus question ici, d’une affaire de choix. Nous avons tous le devoir de reprendre notre pouvoir de gouvernance, par tous les moyens nécessaires. Ensuite, nous aurons celui de faire l’impossible. Réduire nous-mêmes la population au niveau des naissances, adopter plutôt que concevoir. Consommer de façon responsable. Fini les 4 x 4 au centre-ville. Fini les changements de cellulaires aux deux ans. Nous sommes en train de vider nos stocks de métaux rares. Ressources limitées, en grec ancien, ça signifie que lorsqu’il n’y en a plus, il n’y en a plus.

Nous avons tous échoué. Nos façons de vivre doivent changer radicalement. Faisons-le, ensemble. Notre ennemi commun, c’est nous.

Je livre ici mes pensées au quotidien de cette crise mondiale. Un vieux, ça pense! comme disait Yvon Deschamps. Par instant, vous trouverez que je pense trop et par d’autres, vous découvrirez à quel point, parfois, je puis simplifier encore trop. La raison en est simple, le stress m’a rendu «bipolaire au cube». C’est une nouvelle maladie, je présume, causée par la criminalité de nos dirigeants. Je dis ce qui me passe par la tête.

Dieu est amoureux fou de la moindre des particules de sa création. Rien ne peut être jeté hors de Dieu puisqu’il est tout et partout. Sur terre, il y a des comptes à régler, mais au point de vue de l’absolu, rien ne sera rejeté et Dieu n’a pas l’enfer en lui.

Quand je parle de Dieu, c’est au concept de source éternel de toute chose, même si je suis juif, chrétien, musulman, hindou et bouddhiste. Mon approche est celle du chercheur. Ce que je conçois mentalement concernant Dieu doit se conjuguer avec ce que la science nous a révélé. Ce que je conçois mentalement de l’espèce humaine doit aussi se conjuguer, avec ce que la science nous a révélé.

Ce livre n’est pas un roman ni une étude. C’est une quête de vérité, non pas uniquement en ce qui concerne la présente crise, mais le sens de la vie, le pourquoi les riches sont riches et les pauvres sont pauvres, les favorisés et les défavorisés. C’est un franc-parler, un franc-penser.