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Ce à quoi vous pouvez vous attendre.

Image couverture de la Tétralogie du chêne de la rose et de l'abeille Livre numérique publié le 15-04-16 par la aison d'édition de Serge-Carmel Bourget l'auteur
En 2013, j’étais hospitalisé au 5e Est du centre hospitalier de la haute Yamaska de Granby. Cela faisait douze ans que je jeûnais la plupart du temps. De 2001 à ce jour, j’avais fait plus de 150 jeûnes, des dizaines de longues durées dont trois de plus de cinquante-cinq jours sans une seule calorie, une vingtaine en absolu soit sans une goûte d’eau dont un de vingt-huit jours de ce type le plus difficile entre tous.
 
Si je jeûnais ainsi, c’était par conviction religieuse, plus précisément de religiosité, car, bien que connaissant le jeûne depuis des années, laquelle pratique m’avait été suggérée par un ami masturbateur de cochons. Je blague. Il était agronome et devait s’adonner à cette tâche aux fins d’améliorer la génétique de ce digne animal de ferme qui comble de plaisir nos palais, de plus en plus avides de cette chair apprêtée sous toutes les formes imaginable.

Le chêne,la rose et l'abeille

Je savais donc depuis 1992 que l’on pouvait jeûner jusqu’à quatre-vingt-cinq jours sans danger et je croyais par contre que cette pratique pouvait guérir bien des maladies mortelles, ce dont je ne crois plus le moins du monde aujourd’hui. Celui qui m'a convaincu de jeûner ainsi, ne sait pas ce qui l'attend. Je ne parle pas de mon ami.
 
Je dois ici préciser que je ne me suis jamais servi de la violence physique autre que pour me défendre, mais je sais être parfois cruel et sans scrupules avec mon art.
 
Sauf qu’en 2001, j’ai vécu une expérience toute particulière où du jour au lendemain, tout fut transformé dans ma vie. Les couleurs n’étaient plus les mêmes, les sons n’étaient plus les mêmes, plus rien n’avait le goût d’antan, mes perceptions auditives et tactiles étaient exacerbées au point où je pouvais entendre une araignée toucher le sol, si elle tombait de plus de trente centimètres.
 
Mais ces changements de perception du monde physique ne sont pas venus sans une équivalente perception du monde métaphysique. Tout ce que je percevais avec mes sens ou mes pensées, prenaient valeur de symbole et je venais de passer les cinq dernières années à scruter l’oeuvre de Chevalier et Cheerbrant, le meilleur dictionnaire des symboles que l’on puisse se procurer. 
 
Herméneutique et perception accrue ne font pas vraiment bon ménage lorsque l’on est un survivant de l’inceste et que l’on vient de confronter son père sur l’ensemble de ses crimes, dont un en particulier, qui a conduit ma soeur Huguette au suicide.
 
J’avais emménagé à Bromont, moi citadin depuis toujours, plongé dans la nature verdoyante et où les moineaux sont un peu plus volumineux que ceux de Montréal. Un corbeau à la taille de ballon de foot ou un héron qui s’envole juste à vos côtés, je n’avais jamais vu ça.
 
Tout était tellement différent, que je me suis mis à me demander si j’étais encore vraiment vivant. Peut-être suis-je mort, me disais-je. Après tout, qui sait comment l’on se sent, comment l’on est une fois mort?
 
C’est-ce vécu tout à fait particulier qui treize ans plus tard, m’a conduit à écrire cette tétralogie de la vérité, car j’y ai découvert que les êtres humains sont tellement menteurs, et souvent méchants, que la seule chose qui satisfait désormais mon besoin de sens de la  vie, est de dénoncer tous ces fraudeurs et escrocs tout en comprenant leurs motifs pour ainsi se comporter.
 
Je ne vais pas ici vous raconter tout en détail. Je n’y suis même pas parvenu en plus de 1,300 pages, mais je vais vous tracer un tableau qui vous donnera une bonne idée de ce que vous y trouverez, si jamais les sujets vous intéressent.
 
J’y traite d’abus bien sûr puisqu’avant l’âge de trois ans j’ai été torturé par mon père qui voulait s’assurer de mon silence. Mais il n’est pas le seul à avoir eu profité de moi. Plusieurs pourront le confirmer, mais l’on attire à soi, toujours les mêmes caractères, les mêmes personnalités,  le même type de personne tant et aussi longtemps que l’on ne change pas soi-même.
 
J’étais une victime et j’ai attiré tous les bourreaux de la planète. C’est un jeu bien connu en psychiatrie. Bourreau, victime et sauveur. J’ai été la plupart du temps la victime. J’ai aussi joué au sauveur et très certainement en quelques occasions, au bourreau.
 
Alors dans cette tétralogie, je dénonce et j’explique. Pourquoi mon père par exemple était pédophile, ma mère complice lesbienne, ma blonde une prostituée qui se cache sous d’autres appellations et rôles, mes employeurs, mes associés en affaire, plusieurs fournisseurs surtout ceux évidemment dont on ne peut absolument pas se passer des services et qui exerce un monopole ou une domination de marché écrasante, mais aussi mes médecins, avocats, les juges avec qui j’ai dû traiter, les organismes qui étaient sensés me défendre, la plupart de mes soi-disant amis ou amies, mes enseignants, mes guides, sans parler des médias dont la mission est sensée être d’informer et qui désinforment plus qu’autre chose.
 
Enfin, je pense que vous connaissez bien ce système où le seul qui a dit la vérité sur nos systèmes de pouvoir est Lafontaine. La loi du plus fort est toujours la meilleure.
 
Donc, en 2014 lorsque je me suis mis à dénoncer les crimes de la psychiatrie en racontant comment je m’étais guéri moi-même de la schizophrénie que les dignes représentants de cette secte d’agresseurs légalisée avaient diagnostiquée, en même temps que j’avais publié quelques certaines d’articles contre l’Islam intégriste, on a essayé de m’éliminer, une première fois en m’empoisonnant, ce qui m’a fait chier le sang durant huit mois.
 
Lorsque j’ai voulu me confier à ma famille, je n’ai trouvé que des lâches sans aucune colonne vertébrale pareille à mes tantes, mes oncles, ma mère, le curé, les médecins à qui j’avais essayé de me confier dans l’enfance qui n’ont su que prendre la défense de mes agresseurs en banalisant tout ce que j’avais à dire.
 
Comme je n’ai pas la langue dans ma poche au naturel, et que j’ai élevé le ton, ils ont comploté pour me faire enfermer durant un peu pus de deux semaines où l’on m’a encore une fois abusé, et ce, dans le milieu hospitalier de Granby, Québec, par de dignes psychiatres à la solde du Big Pharma.
 
Ma psychiatre bien aimée puisque j’avais développé une certaine confiance aux blouses blanches surtout quand c’était des femmes, dont l’une que j’appelle Die Ann l’huppée parce qu’elle affiche un style de la sorte et que la première syllabe de son prénom sonne en anglais comme la mort et la deuxième, que j’aime appeler Nonne si Bed Hard parce que son attitude envers les hommes est celle d’une lesbienne en manque de godemiché qu’elle voudrait, semble-t-il, arracher à ses patients mâles.
 
Eh bien, ces deux gentilles dames ont comploté pour me priver de toute défense devant la Justice en falsifiant la teneur de leurs rapports me concernant.
 
Elles ne sont pas les seules. Il y a eu aussi mon avocate qui de fait, a fait le travail de la couronne et n’a appelé aucun témoin à la barre pour ensuite limiter son plaidoyer à moins d’une minute, ce qui a laissé le champ ouvert aux bons médecins d’ensuite me faire avaler un cocktail quasi mortel par ruse, lequel m’a plongé dans une confusion totale et des souffrances innommables qui me font encore parfois paralyser de la tête aux pieds alors que je dois me coucher par terre pendant plus d’une heure.
 
Quand je parle de complot, on me parle de paranoïa alors qu’il est bien connu que les complots existent dans beaucoup de familles où les uns contre les autres se font vacherie par-dessus vacherie, comme en usine, au bureau, ou ailleurs. Il est tout simplement phénoménal que l’on s’assemble contre celle ou celui qui chante faux aux mensonges de tout le monde.
 
Pour la psychiatrie, il est dangereux qu’un schizophrène trouve le moyen de s’arracher de la schizophrénie. Cela menace la poule aux oeufs d’or de 600 à 800 millirads par années que rapportent les psychotropes et beaucoup plus encore, ce dont je traite dans le chêne, la rose et l’abeille.
 
Comme je l’ai dit plus haut, je ne me limite pas à la dénonciation, mais j’explique aussi le phénomène de l’abus. L’une de mes images de couverture montre une femme tenant un masque souriant et le contemplant avec un air triste et j’ose dire que cette image pourrait bien être la vôtre, car dans ce monde méchant ou la vérité, est assassinée chacun doit en porter de ces masques.
 
Moi je vis à visage découvert désormais. Ça n’est pas gratuit certes, mais je suis heureux plus que jamais dans toute ma vie et si vous avez le courage d’enfin apprendre à dire ce que vous pensez et penser ce que vous dites, vous trouverez non seulement ce bonheur, mais aussi le plain sens de votre vie.
 
Vous venez de lire 4 pages, lesquelles ne font même pas partie des plus de 1,400 désormais de cette tétralogie. Alors attendez-vous à de belles révélations sur des personnes connues, bien en vue. Je ne mâcherai pas mes mots.
Le sous titre de ma tétralogie est « J’irai chier dans vos tombes » et la série s’appelle « Je ne suis pas venu apporter la paix ». Comprenez-vous ?

Ce qui est assassiné en premier lors d'une guerre, c'est la vérité.

 

Chrurchill

 

Or donc, nous sommes en guerre depuis toujours et pour...

Avant de quitter ces lieux,
Sol natal de mes aïeux,
A toi, Seigneur et Roi de cieux
Ma sœur je confie.
Daigne de tout danger
Toujours, toujours la protéger,

Cette sœur si chérie,
Daigne de tout danger la protéger,
Daigne la protéger de tout danger
Délivré d'une triste pensée.
J'irai chercher la gloire, chercher la gloire au sein des ennemis,
Le premier, le plus brave au fort de la mêlée
J'irai combattre pour mon pays,
Et si, vers lui, Dieu me rappelle
Je veillerai sur toi fidèle
O Marguerite! Avant de quitter ces lieux,
Sol natal des mes aïeux
A toi, Seigneur et Roi des cieux,
Ma sœur je confie!
O Roi des cieux, jette les yeux,
Protège Marguerite, O Roi des cieux!

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