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Race de monde - Félix Leclerc
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La pire race de monde, la dernière race au monde est celle qui se tait, à grands coups de prétextes moraux qui n’ont de source que la peur et la lâcheté, à grands coups de principes d’ordre, d’obéissance aveugle et d’hypocrisies intéressées. Le courage, mon ami était possible ici, mais la peur d’avoir peur les a tous tués et les dirigeants ont gagné.

La pire race de monde, la dernière race au monde est celle qui se tait, à grands coups de prétextes moraux qui n’ont de source que la peur et la lâcheté, à grands coups de principes d’ordre, d’obéissance aveugle et d’hypocrisies intéressées. Le courage, ma mie était possible ici mais la peur d’avoir peur les a tous tués et les dirigeants ont gagné.

L’on blâme toujours les dictateurs, qu’ils soient élus par le peuple en démocratie ou résultent d’un coup d’État, mais les plus coupables de l’esclavage de l’humanité ce sont les lâches peureux qui se mettent à trembler face à tout sexisme, mépris, racisme, haine, méchanceté et injustice.

Martin Luther King disait: nous ne nous souviendrons pas des maux de nos ennemis, mais du silence de nos amis et Albert Einstein lui, que les pires crimes, les génocides par exemple, ne sont possible que par la complicité silencieuse des masses.

Ce comportement de lâche vient du fait de l’âge mental de l’humanité qui n’est que de douze ans et donc, souffre d’infantilisme psychique.

L’on nous apprend à obéir dès l’enfance à l’autorité. Maman prend soin de bébé et le nourri, puis à la garderie l’on nous fait déjà entrer dans le moule des règles nécessaires, puis à l’école ces règles commencent à être abusives alors que l’on nous force à devenir aussi lâche que les éducateurs qui nous diront, par exemple, de faire un détour pour évitr l’intimidation de tel ou tel autre élève. L’on dira à la jeune fille qu’elle sera elle, par sa façon de s’habiller, responsable si elle venait à être violée par de jeunes voyous, au lieu de les défendre et de leur enseigner à se défendre.

Puis, un peu plus loin. à l’université ou dans les différents milieux de travail, l’on écrasera en nous toute manifestation d’esprit critique du système d’échanges commerciaux basé sur le respect de l’autorité illégitime des voleurs de ce monde, ce un dixième de 1% de super-riches de ce monde qui extorque 99,9% des 7,4 milliards d’êtres humains de la planète.

Ils sont certes méchants et cruels au point de violer tous, les lois et principes moraux de nos sociétés jusqu’à en faire mourir de faim cinq millions par année, affamer 66 millions d’enfants qui vont à l’école le ventre vide et détruisent la planète de plus en plus rapidement et sûrement, mais la peur qu’ils ont programmée en nous, nous retient.

L’on a peur de perdre son emploi, sa voiture, sa maison, ses jouets, sa source de nourriture, de devoir aller vivre à la rue dans une pauvreté extrême.

La peur de manquer de l’essentiel qui est bien entendu la nourriture en tout premier lieu est la plus grande de toutes. Certes il y a aussi celle d’être ostracisé, rejeté par l’autorité (Maman) si l’on se révolte contre l’abus ou l’exagération et ce peu va jusqu’à faire de nous des assassins.

En 1963 Milgram, un chercheur en sociologie a fait l’expérience de demander aux participants d’administrer un choc électrique à la personne qui répondait faussement à une question et d’augmenter l’intensité de mauvaise réponse en mauvaise réponse. Eh bien 63% sont allés jusqu’à administrer des charges mortelles à des inconnus qui criaient pourtant de douleur.

Ils critiquent un tout petit peu, face aux souffrances de l’autre, mais du moment que l’autorité en blouse blanche insista poliment, ils exécutaient l’ordre de respecter la règle de l’expérience.

En 2009, cette expérience fut reproduite avec cette fois une équipe multidisciplinaire et les résultats allèrent jusqu’à 80%

Voyez cette page où je me sert de cette expérience pour démontrer à quel point cette infantile lâcheté va jusqu’à abuser des personnes âgées ici au Québec, dans nos hôpitaux, notre système de Santé que cette chère Barrette est en train de vendre à ses amis les spécialistes, les gens les plus favorisés de notre société, les représentants québécois de ce 1% de riches dont je parlais plus haut.

Si nous ne prenons pas en main notre destinée, nous finirons tous en esclaves dans une société québécoise moulée aux besoins de l’autorité.

Actuellement, l’on essaie de passer des lois pour restreindre notre liberté d’expression inscrite à l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme. Si nous ne nous révoltons pas face à de telles exagérations de pouvoir, bientôt, il nous faudra demander la permission à tel ou tel organisme pour utiliser tel ou tel mot, parler de tel ou tel sujet.

C’est plus que grave, car ce qui distingue l’être j=humain des animaux c’est sa capacité d’articuler des idées complexes avec les mots qu’il connait. Aucun mot n’est une insulte. C’est la vérité et la vérité elle seule qui frustre, choque, démasque, oblige les explications, met la lumière sur les crimes de l’autorité.

Ce type de loi est plus qu’une violation de la vie privée, ou une ingérence religieuse dans nos façons de penser, c’est une lobotomie de la liberté du  cerveau humain qui est traversé quotidiennement par 50 à 60 mille pensées.

S’il nous faut commencer à filtrer telle ou telle expression par une peur d’être emprisonné ou devoir payer une forte amende, faire face à une poursuite couteuse, la peur congénitale dont je parle, l’infantilisme psychique, grandira et l’âge mental de l’humanité ne pourra plus s»accroitre.

Ce type de loi relève de la violence psychique, de l’abus d’autorité.

J’ai le droit d’exagérer mes pensées avec les mots de mon choix. C’est d’ailleurs une excellente méthode d’analyse que l’exagération dans un sens ou dans l’autre. Elle permet le dévoilement des zones sombres.

De toute manière, pourquoi devrait-on se gêner de dire tout ce qui nous passe par la tête à un assassin et c’est ce que sont nos dirigeants en fin de compte, tout comme ces 80% qui obéissent à leurs ordres et qui donne lieu depuis les débuts de l’histoire de l’humanité aux pires exactions sociales et à tous les génocides.

Les soldats nazis et même certains généraux se sont défendus en affirmant n’avoir aucune responsabilité du fait qu’ils obéissaient aux ordres. D’une part, qui a dit que l’obéissance était une bonne chose? Et, d’autre part, ce sont sur les soldats qu’on a tiré le plus de grenades et de balles de fusil. Les dirigeants eux, les organisateurs, s’en sont pour beaucoup tirés indemnes.

Pensez-y et commencez donc à critiquer de face et non derrière le dos des gens que vous critiquez et soyez donc prêts à vous battre pour votre liberté, vos droits, la Justice, l’équité, le partage. Fini la peur d’avoir peur. Et la première autorité que vous devrez critiquer, sera celle qui est en vous et vous ordonne à voix basse, d’obéir, même quand ça n’a pas de sens.

À quoi sert de vivre, quans la vie n'a plus de sens... ? ( À lui en trouver un )

Race de monde

Il y a une race de monde qui vit coupé du monde et ne le voit jamais Qui méprise le monde derrière les rotondes scupltés de leur palais pas de femmes chez eux, ni d'enfants ,ni d’aïeux ni de problèmes à deux Ils vivent de l'esprit et qui donc les nourris ? Le pauvre monde ma mie !

Il y a une race de monde celle des rues pleines de monde qui n'en sort jamais vivre à courir le pain, le vêtement, le chagrin et le train quotidien coincé dans l'engrenage, le roulis, le tangage, le tapage des cités N'a ni temps de gouter, d'écouter, de parler. qui n'a repos que mort.

Il y une race de monde qui vit derrière le monde et le suit comme un chien le vole pendant qu'il dort, tourne ses poches et l'or, elle va le faire au loin.

une race de chacals invisibles, faisant mal, au matin ils dévalent elle n'a ni nom ni rang, son adresse est le vent, méchant, distant, absent.

La pire race de monde, la dernière race au monde est celle qui mène le monde à grands coups de crayons, à grands coups de canons, de sermons et d'édits. Le paradis, ma mie était possible ici dans chacun des pays

c'est elle qui l'a détruit au nom de l'ordre aussi mais j'en ai assez dis

La Terre est à tout le monde suis de c'te race de monde

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