233 mots pour dire la source de ma peine, la substitution du Père.

Je n'ai pas cherché à atteindre ce nombre, il était là, au moment même où je me suis étonné de trouver en fin cette source traumatique.

bouteilles de Tylenol, je t'ai abandonné à Dieu, le seul vrai Père de ma vie.

Quand j'ai accepté de ne jamais être à la hauteur de ce que l'église demandait de moi, tu m'es apparu en preuves de présence.

Je ne possède pas de chez-moi. Ici, c'est un refuge près de ceux que je croyais allaient m'aimer. Je n'ai jamais eu de famille. J'ai été utilisé comme une sorte de machine à payer les factures.  

Je devais être un peu idiot s'ils ont cru que de garder le nom Daddy allait me tromper, comme si ça avait été le seul mot que je reconnaissais…

Si ma langue d'apprentissage entre 10 et 20 mois étaient l'anglais, mais que j'étais idiot, j'ai gardé la structure, mais avec la grammaire française. Ce serait une explication de mon manque de présence et que je ne comprends les messages 2ᵉ degré qu'en retard.

Tout est arrangé avec le gars des vues, disait Alice, jusque dans ma génétique. Comment peut-on être trompé plus que ça ?