Au secours mon Dieu!
- avecdieuseul
- 25 mai 2022
- 2 min de lecture
J’avais besoin de parler, mais il n’y a eu personne pour écouter.
Elles n’ont fait que se taire en présumant de tout pour prendre la parole et parler d’eux ou de leurs croyances.
Dieu semble être le seul qui écoute, mais j’ai parfois l’impression qu’il me faudrait lui faire parvenir ma prière par courrier recommandé.
Pas facile de vivre entouré de personnes inconscientes au point d’être méchantes, mais je comprends.
Nous avons tous notre dictionnaire personnel.
Au secours mon Dieu, viens vite. Ils sont inconscient du mal qu’entraine leur insensibilité.
Je n'ai pas la force. Je croule sous le stress. Fais vite.

J’ai l’impression d’être puni.
Je ne mérite absolument pas d’être traité avec insensibilité, méchanceté et cruauté.
J’ai tout donné. J’ai tout risqué pour aimer l’espèce humaine comme toi.
Je sais que c’est mon ignorance qui me fait me sentir comme si j’avais été trahi, mais j’ai envie que ça finisse.
Deux camions-remorques de 45 pieds, sur ma rue, à 4 h 10 le matin. C’est la première fois en six ans. Que transportaient-ils ? Au son, les remorques étaient vides. Je suis curieux.
Je sais que je m’apitoie. Un mourant ne gémit-il pas quand la douleur le tenaille ?
Moi, c’est le stress. Trop, c’est trop. Ça manque de synchronicité. Je me sens abandonné. C’est parce que mon premier drame fut d’être abandonné dans un orphelinat.
Cela fait 27 440 jours que je suis dans ce corps.
Je persévère une journée de plus, à ne pas rédiger de billets sur Facebook. Non pas que ce soit efficace thérapeutiquement parlant, mais tout juste parce que c’est différent et que donc, cela produira du nouveau.
J’ai frôlé l’infarctus du myocarde et une crise d’asthme, la semaine passée.
J’ai acheté un vélo pour faire de l’exercice, à tout le moins bouger. Je ne l’ai pas assemblé entièrement. J’ai été dérangé par l’épuisement et les menaces de sévices.
Puis, j’ai commandé une marchette. Les menaces se sont amplifiées.
J’ai peur. Tu me ferais signe, lorsque je pourrai sortir en sécurité.
Au lendemain matin de la menace de me battre à coup de poing. C'est comme ça que ça marche l'intimidation. Des paroles qui semblent parler d'autres choses et qui servent à planter une idéation menaçante, ou des images qui poursuivent le même but.

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