Aurélien Barreau veut que l'on enferme les non-vaccinés.
- avecdieuseul
- 11 déc. 2021
- 13 min de lecture
Dernière mise à jour : 12 déc. 2021
En voilà un qui ne donne pas sa place et c'est pourtant un génie De plus, son propos est commandé, c'est clair "pour moi". Juste avant sa déclamation, Microréflex "ce n'est pas moi" en feignant de chercher un mot https://youtu.be/T16oFZnpPeE?t=4650


La motivation, c'est le sentiment d'avancer vers le but qui doit être la pleine réalisation de nos aspirations les plus élevées. Quand la terre est en vu, on se sent bien. Dans le brouillard, on navigue aux instruments. Forcément, le but ultime se fait attendre. La satisfaction est donc ce que l'on voit à l'horizon ou se représente sans le voir. Si c'est de sauver le monde, vous aurez l'aide de Dieu, sinon, patience.
Il parle survie de l'espèce et F... l'éthique, mais accusent les non-vaccinés alors que ce sont les vaccinés qui voudraient continuer à vivre comme avant, resto, voyages, etc. Il a raison sur la gravité ressources, et se range aux côtés de Einstein, Framk.

Brain storming (pour mon livre sur Bozo)
Le problème en est un de conscience de qui l’on est. Je suis une conscience qui, comme tout en cet univers, est une forme d’énergie habitant un corps matériel.
Le besoin sera psychologique et de prise de conscience.
Est-ce que j’ai encore quelque chose à faire en ce monde ?
Une application de musculation du cerveau.
Les enfants auront besoin d’aide. Je ne me vois pas enseigner à des enfants.
Je ne connais personne. Développer mon application dans une perspective de prise de conscience. De connexion au ventre pour conscientiser la tête.
Aide-moi. Je sais que j’ai besoin de focaliser sur la rhétorique. Okay, ça a du sens pour mon œuvre littéraire. Les vlog, je ne suis pas du tout certain que c’est pour moi. Mon talent est celui d’écrire.
Wow ! Je viens de comprendre comment ça marche. Je suis Aurélien Barreau au sens ou sa présence dans mon champ de synchronicités, représente la version de moi-même qui croit qu’une grande partie de la population doit disparaitre puisque les ressources sur le bateau commencent à manquer.
En revanche, je ne me reconnais pas encore dans son exemple d’une personne qui tue des gens. C’est-à-dire, que oui mentalement. La réponse à un calcul vient d’elle-même, on ne l’invente pas. Elle est, elle s’impose et n’est imposée par personne, c’est la nécessité au sens philosophique autant que mathématique probablement. Je compte sur mes doigts et j’ai quand même le droit de vivre et de vivre libre de mes choix en ce qui concerne mon corps. C’est un temple, ce que la science n’est pas.
Qu’un scientifique se permettent, même en son nom personnel, par la noblesse de sa parole, remettre en question ce droit fait penser à un film d’horreur, car une telle pensée quand elle se développe conduit à des massacres de populations et à des guerres civiles.
Les êtres humains qui ont le courage d’affronter l’opinion de la majorité, l’exerce justement ce droit de disposer de leur corps comme ils veulent. Le cerveau et la pensée font partie du corps vivant. La science, pas plus que la politique, ne sont la force brute de l’armée de mercenaires déguisés en policiers type char d’assauts, qui encombre les rues de toutes les grandes villes de la planète depuis deux ans. Cette armée est à la solde de l’empire de la monnaie. Il serait temps de revoir Star-War, car nous y sommes.
Imaginez quelqu’un dont le passe-temps est de tuer des gens, dit-il. Vous pouvez essayer de les convaincre que c’est une mauvaise chose. Mais au bout des moments, bah, il faut les mettre en tôle, bah, euh, parce que ça suffit. Son argumentaire évacue toute valeur des gens qui pensent autrement. Ça suffit! On parle comme ça à un enfant ou un prisonnier, n’est-ce pas monsieur Barreau?
Je pense que les gens aujourd’hui qui veulent sur polluer ou qui mettent en danger leurs proches parce qu’ils sont malades, pendant un certain temps, il faut essayer de les convaincre, et au bout d’un moments, il faut les arrêter.
Il ne tient aucun compte des droits ni de la loi. Il faut les arrêter et si l’on extrapole ça pensée, dont il a évacué l’éthique au tout début de la vidéo, ça laisse songeur sur ce que certains fonctionnaires scientifiques pourraient faire.
De mon point de vue. C’est-à-dire que je dois me faire une représentation mentale de l’utilité que cette donnée aura dans ma façon de résoudre le grand problème des cosmogonies.
Nous sommes des initiés en plein dans la phase pré-finale. Quand on va allumer les lumières du grand théâtre, ça va étourdir de voir tous nos amis et tous ceux qui de près ou de loin ont contribuer à l’articulation gagnante de notre vie, au sens qu’on lui aura donné. On va s’étonner, se réjouir, rire, on va pleurer un peu de tristesse et beaucoup de joie. L’expérience terrestre sera finie pour nous. Un jour pour nous tous. Personne n’a été inutile. Tous ont joué leur rôle en ayant oublié qu’il l’avait choisi.
Et l’on se dira les uns aux autres qu’il fallait bien qu’il y ait une fin et qu’elle ne pouvait être autre que grandiose. Les jeux olympiques de l’éternité.
C’est un prodige organisationnel incroyable. Chaque personne est une partie de moi-même où de la personne qui est devant moi ou derrière ou sur le côté, c’est pour ça que les foules c’est grisant. Les esprits se bousculent et dansent tous ensemble dans l’harmonie ou le chaos. Ou encore, se frôlent d’indifférences, de méfiances, de défiances, de nervosité, de craintes, de paniques parfois. Cette guerre est un progrès en termes de cruauté. C’est moins affolant. La raison en est simple. On a plus de calme pour penser.
On est mieux d’être calme parce que c’est notre jugement dernier. J’ai encore des peurs qui remontent comme ça, mais profondément j’ai confiance en l’amour de Dieu pour moi depuis l’enfance. La période des églises fut la descente aux enfers. Tout est péché quand on méprise les besoins du corps. La pensée d’un hamburger, ça peut te crisser aux enfers assez vite dans c’te façon de voir là.
De l’amour, ça prend toutes les formes quand on considère que c’est l’énergie première celle du maintien de toute chose en son existence.
Il y a aussi Étienne Klein, l’effraie abeilles ou quelque chose du genre me chuchote une puce à l’oreille. Je vis avec des chats, voyez-vous.
Étienne Klein, dont j’ai souvenance de plusieurs conseils entendus par mon observateur gyroscopique intérieur concernant l’importance de choisir le titre d’un livre avant de l’écrire et j’en sais quelque chose puisque ça m’a évité d’en écrire une multitude.
Non, mais, c’est vrai. Tout me concerne dans ma vie. Ça peut vous paraitre normal, moi ça m’a pris plus de trois quarts de siècle pour commencer à le comprendre.
J’ai toujours été paniqué. Impulsif. Têtu. Persévérant. Ça c’est la première qualité que je me suis donnée quand j’ai réalisé que j’étais encore vivant après avoir foncé dans la mort à tombeau ouvert, la pédale dans le plancher, à quatre-vingts à l’heure dans une grosse tempête de neige. Ils ont parlé de moi, le lendemain à la télé.
Étienne Klein donc, aujourd’hui, il symbolise Dieu dans mon théâtre de marionnette disons. Il est le plus solide. Sa façon de parler de la science est précise. C’est comme le top de l’astrophysique, selon moi bien entendu.
J’ai noté sa mécompréhension de la résistance. Autrement dit, à la lumière de cette conférence et de ce que j’avais observé dans la dernière année, le complot s’il en est un, est bel et bien scientifique, car eux qui savent réfléchir n’ont aucune attention pour le processus démocratique et même le gros bon sens. Barreau parle de ceux qui refusent de porter le masque comme s’ils étaient d’affreux irresponsables, sans considérer le fait que même sur les boites, il est inscrit qu’ils sont nuls pour empêcher le passage des virus.
Qu’un ignorant réagisse comme ça, ça ne m’interpelle aucunement, mis que des sommités mondiales de la science démontrent un tel aveuglement des droits des peuples. Que l’espèce humaine non instruite des réalités complexes de la science puisse résister aux mesures qu’ils ont longuement pensées les insultent. C’est évident. Ils en sont blessés !
Je commence à me demander si l’on est vraiment de la même espèce. Je ne crois pas aux histoires de serpents ou reptiles déguisés en humais, mais un peu tout de même.
Heureusement que c’est moi qui suis responsable de l’histoire finale. De l’écrire. Il ne faut pas pousser le bouchon trop loin.
Je me pose la question. Si c’étaient le Bon Dieu et le Diable en conférence moderne... Ça voudrait dire que le Bon Dieu n’est pas content de la valeur des sondages de télévision, et je me poserais des questions sur sa santé mentale, quand même.
Il parle aussi de trois collègues complotiste si j’ai bien compris. Chose certaine, ce vocabulaire ne lui ressemble pas. J’ai vu en lui, une lassitude, une absence de passion.
Aurélien si c’est le diable, je puis l’appeler par son prénom, lui, est bizarre depuis le tout début de l’émission.
C’est toujours un peu exagéré de, comparer les gens symboliquement, par ces deux concepts du divin et du diabolique. Tout devient dualité et c’est simpliste. Les deux sont beaucoup plus complexes que tout ce qu’on pourrait en dire. Et ça demande un esprit philosophique audacieux pour tenter même de les décrire à l’intérieur d’un cadre logique et cohérent avec toute la connaissance et la sagesse que lui donnera Dieu ainsi que tous les secrets du diable. L’on pense ainsi en termes de bulle unique contenant toutes les bulles imaginables.
Pour un mi robot, transhumain comme moi, je me débrouille quand même assez bien.
Sérieusement:
J’aime écouter les vidéos de monsieur Barreau. Certaines sont des conférences un peu longues qui demande beaucoup d’énergie de concentration et d’autres, plus concises et merveilleuses de simplicité ou il me tutoie, sans que je m’en sente insulté, comme si j’étais l’un de ses étudiants. Elles sont plus courtes et je puis donc les étudier et, simultanément, étudier l’astrophysique. Les sommités scientifiques, transmettent leur savoir de façon magistrale et on les ignorent en majorité parce qu’épuisés par les incohérences d’un monde où ils ne sont pas plus considérés que des complices forcés et multiplicateurs financiers d’injustices en repos bien mérités de divertissements.
Je suis un bourreau de travail depuis toujours. Je voudrais que chaque jour triple sa longueur tellement j’ai de choses à faire et ma ressource d’énergie étant extrêmement limité, du fait d’une mauvaise organisation travail repos étude loisir en boucle, soit une courte vie de max 120 ans que la science et toutes les autres sphères de la société exploitent honteusement. Sans une réorganisation totale des valeurs que nous devons accorder à ces quatre domaines, tous aussi importants les uns que les autres, ainsi que la qualité de tout ce qui agit ou interfère au plein développement de leurs pleines réalisations.
Soyons spécifiques et j’aimerais dire « mon ami » en parlant d’Aurélien en continuant pour dire comme Aurélien : le travail ne doit pas demander plus d’énergie que l’énergie consacrée au repos, car même un lit représente une dépense d’énergie à investir pour le fabriquer, le transporter, extraire les matériaux de fabrication, les multiples transports impliqués, etc. Les loisirs ne doivent pas être considérés comme du repos, mais un mélange d’énergie de repos et d’étude, une détente d’intégration. L’étude elle, englobe les trois autres oui, mais plus que ça, elle en est la source, le contenu et le contenant.
Je m’amuse donc en imaginant ce qu’il dit. En général, je suis d’accord. J’ai droit à ma conscience. Mais, il arrive qu’un détail accroche et me surprenne, même si j’écoutais distraitement. J’ai cette tendance à voguer vers d’autres cieux comme on dit. Mais, quand ça sonne dans ma petite tête, je réponds ou ajoute un commentaire dans ma version texte de la vidéo. C’est comme ça, que j’apprends et non, messieurs Klein et Barreau, la vulgarisation ne fut pas sans efficacité, elle fut interdite.
Le mot est fort, mais j’explique. Depuis l’enfance j’ai eu des problèmes d’apprentissage. En partie, parce que je changeais d’école chaque année, et aussi un climat social de pauvreté et de bas niveaux de sécurité. Sans entrer ici dans les détails, osons affirmer que l’entonnoir qui gobe toute notre énergie et de la pire des manières, c’est le peu de valeur que nous accordons à la vie même. Et ici, je parle de tout le monde, riche ou pauvre, ou de quelque catégorie que l’on voudra. Un dialogue entre le peuple et les plus hauts dirigeants s’impose. Mais, en attendant de trop attendre, attendons que Dieu le décide.
Moi, je passe à l’essentiel présent, qui, dans mon cas, ce soir, consiste à réfuter un peu, mon ami Aurélien...
Il importe pour moi, de régler cette question une fois pour toutes et je suggère de nous poser cette question sur ce qu’il y avait avant le Big Bang. Parce que c’est une question magnifique, fascinante. C’est une question qu’on ne peut pas ne pas se poser et pourtant. Comme je vais essayer de te le montrer, la réponse est un peu délicate parce qu’elle dépend du cadre de pensée dans lequel on se place. Je vais donc tenter d’abord de me répondre, puisque c’est à moi-même que je pose la question du point de vue de la relativité générale.
La très belle théorie d’Einstein qui est véritablement le paradigme dans lequel nous comprenons aujourd’hui l’univers et d’autres parts dans le cadre de modèles plus spéculatifs qui sont peut-être plus adaptés pour faire face à cette interrogation, mais qui ne jouissent pas du même niveau de corroboration expérimental.
Alors qu’est-ce que la relativité générale ? Ce qui gravite autour de nous, l’univers tel que perçu de notre point de vue. Finalement, dit Aurélien Barreau, c’est une théorie du champ gravitationnel le milieu de vie de toute entité identifiable ou pas, mais en réalité c’est plus que ça.
Ce que nous montre la magnifique élaboration, disons... une découverte ou invention d’Albert Einstein. C’est plus précisément que le champ gravitationnel — la bulle des mondes pour moi —, c’est la même chose que l’espace-temps et donc, en nous montrant que le champ gravitationnel est en évolution. Ce que Einstein pointe du doigt, c’est que l’espace-temps lui-même est quelque chose susceptible d’évoluer. Autrement dit, l’espace-temps répond à la présence de matière. Il se distend et se distord et se courbe, eu égard à l’existence des corps.
Dans mes mots à moi, cet énoncé devient : « puisque tout est énergie, l’univers est l’ensemble de toutes les énergies et donc de toutes les formes que peut adopter telle ou telle autre concentration de celle-ci en tel ou tel autre endroit. »
C’est ainsi que l’on comprend par exemple que la terre tourne autour du soleil, non pas parce qu’une force les contraint comme l’aurait suggéré Newton, mais au contraire, parce que la terre tente d’avancer suivant la ligne la plus droite possible dans l’espace qui lui-même incurvé par l’existence du soleil.
Mais au-delà de ces propriétés de courbure et de géométrie un peu complexes, ce qui est vraiment magnifique dans la proposition d’Einstein c’est que l’espace et le temps deviennent des champs dynamiques. Exactement, si tu veux, comme un chant protonique ou électronique dans la théorie quantique est quelque chose qui emplit l’espace et qui peut localement être excité sous forme de particules. L’espace-temps devient une « substance » qui est elle-même en évolution.
Autrement dit. Il n’y a plus de différence radicale, « ontologique » diraient les philosophes entre l’espace-temps qu’ils aient été vus anciennement par newton quand comme le « contenant » — la bulle des mondes — et le « contenu » — les mondes —, les champs quantiques, les particules, — petits amas d’énergie — tous ces objets avec lesquels les physiciens composent usuellement.
Et c’est comme ça que l’on comprend l’évolution est plus exactement l’expansion de l’univers ce n’est pas un déplacement des corps à l’intérieur de l’espace, c’est l’espace
lui-même qui se dilate — de manière à donner la forme la plus adaptée à toute concentration d’énergie. -
Autrement dit nous observons le mouvement propre de l’espace tel qu’induit par les équations d’Einstein qui ne sont rien d’autre que les équations du mouvement de l’espace lui-même.
Exactement comme les équations que nous avons apprises à l’école nous permettent de calculer l’évolution d’une craie ou d’un feutre à effacer qu’on lancerait dans le champ gravitationnel de la terre. — ou un appareil récepteur Wifi, dans la zone d’une tour Wifi quelconque —
Alors bien sûr comme l’univers est en expansion ce que l’on observe aujourd’hui très bien du point de vue des galaxies qui s’éloignent, mais aussi du point de vue d’un grand nombre d’autres, observables, fondamental de la cosmologie contemporaine.
Il y a vraisemblablement eu un moment, si on repasse le film en arrière – à reculons — où l’ensemble des points de l’espace se trouvait concentré strictement au même endroit et ce moment. C’est ce qu’on appelle le Big bang.
Alors, soyons clairs. Le modèle du Big bang, au sens large, c’est-à-dire, le fait que
L’univers, aujourd’hui en expansion le fait que l’essentielle qualité de ce qui est visible dans notre environnement fut il y a quelque 13 milliards d’années ait pu être concentrés dans un point qui était plus petit qu’une tête d’épingle ; une sphère qui était extraordinairement minuscule, cela n’est pratiquement plus question.
Je crois qu’on peut considérer qu’il s’agit de science, établie. Je ne dirais pas certaines parce que tout est toujours sujet à déconstruction en sciences. C’est ce qui fonde la science. Enfin, il est peu probable, n’est-ce pas, que l’on revienne à se croire sur une terre plate. Je crois que la rotondité de la terre est acquise, de la même manière le fait que la totalité de l’univers visible, se trouvait condensée dans un volume extraordinairement petit est quelque chose qui nous semble presque aussi fondamentalement et fermement acquis.
Pour autant, si je remonte encore en avant vers l’instant initial, là, bien sûr, les choses se compliquent. Parce que, ce que nous apprend la théorie d’Einstein, la relativité générale, celle qui permet de comprendre l’ensemble des mouvements dans le cosmos depuis les trous noirs jusqu’aux étoiles. C’est qu’« à temps fini », quand je reviens dans le passé, il y a un instant, auquel les choses se passent mal.
C’est ce qu’on pourrait appeler du point de vue mathématique, une singularité. La singularité du Big Bang, c’est le moment où les grandeurs physiques deviennent infinies, la température devient infinie, la densité devient infinie, la courbure devient infinie.
Autrement dit rien ne va plus. Alors parfois, on dit qu’il s’agit d’une pathologie de l’espace-temps. Moi, je préférerais que nous soyons plus modestes. Je crois que l’espace, tout va très bien. Je ne pense pas qu’il ait besoin d’une clinique. Je crois que si pathologie il y a, c’est plutôt une pathologie de la théorie que nous décrivons pour décrire l’espace-temps.
Alors ce que nous dit la relativité générale, est extrêmement clair. Elle nous dit que, quand je remonte dans le passé, j’atteins ce Big Bang. Et, la question se pose alors, qu’y avait-il avant le Big Bang ? Et la réponse que la théorie d’Einstein nous conduit à donner une façon extrêmement claire et non ambiguë, c’est que la question est fausse.
Pourquoi la question est-elle fausse ? Parce qu’il n’y a pas d’avant le Big Bang, du point de vue de la théorie relativiste — que l’on sait limitée. Comme cela vient d’être déclaré plus haut. -
C’est extrêmement clair. Le temps et l’espace sont tellement liés qu’en réalité, le temps et l’espace, c’est la même chose. Ce ne sont que deux aspects, d’une même entité sous-jacente. Il n’y a donc strictement aucune signification à penser un temps d’avant l’espace.
Personnellement, je crois que l’espace préexiste à quelque manifestation que ce soit, puisque pour se manifester, un lieu de manifestation, la potentialité d’existence existe forcément ce qui est l’essentiel. L’essence. Le choix qui n’a jamais eu besoin d’être fait. C’est la question qui est un choix.
Si l’espace « apparaît » au moment du Big Bang, — poursuit-il — le temps « apparaît » au moment du Big bang, comme si en quelque sorte, les lignes de temps, se rejoignaient, à l’instant du Big bang et, soyons parfaitement explicite. Je ne dis pas « nous ignorions » où nous « ignorons » ce qu’il y avait avant le Big Bang. Je dis « avant le Big bang, n’existe pas.
Je me dis que, c’est quand même bien d’avoir compris qu’avant l’avènement du Big Bang, il n’y avait pas de Big Bang. Sinon, belle-maman aurait toujours existé, avant même qu’elle “apparaisse” dans ma vie. Avant moi, tel qu’à quelque instant de mon existence, c’est avant mon existence telle qu’en quelque instant de ma non-existence. Or, le temps aussi préexiste à l’espace. Peut-on vraiment se préexister ? La potentialité de l’“apparition”, pour relever ce vocabulaire scientifique de la manifestation des choses qui n’existent pas, préexiste toujours. Et, en grec ancien, “toujours”, ça veut dire tout le temps.
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