C?...*** ils feront des enfants six en même temps, trois fois par an.
- avecdieuseul
- 17 déc. 2021
- 10 min de lecture
Dernière mise à jour : 25 janv. 2022
Ça veut dire que j’ai voyagé dans le temps pas à peu près Germaine.
Ce bel animal, me fait penser à l'Égypte ancienne, n'est-ce pas?

Malheureusement, le guépard d'Asie est gravement menacé, en partie à cause d'un manque de végétation et d'eau disponible dans les régions où il réside. Le gouvernement est intervenu et sont désormais protégés. La population de guépards asiatiques a tellement chuté qu'en 2017, il a été signalé qu'il n'en restait plus que 50.
De cette belle région volcano-montagneuse
Habituellement, les fondateurs de célèbres plateformes de médias sociaux et d'autres sites Web du monde en ligne sont créés par des Américains. Mais saviez-vous que le fondateur d'eBay était en réalité d'origine iranienne ? Il s'appelle Pierre Omidyar et est né à Paris de parents iraniens.
Un jour, comme dans très bientôt près de chez-vous, ils feront des enfants six en même temps, trois fois par an.


Plus tard, Pierre a déménagé avec sa famille en Amérique et est maintenant un citoyen officiel des États-Unis. Alors qu'il est officiellement américain, il est iranien par l'héritage de ses parents. Et Pierre Omidyar n'est pas le seul entrepreneur remarquable d'origine iranienne ; il y a aussi le PDG d'Expedia Dara Khosrowshahi et l'ancien SVP de Google - Omid Kordestani.
https://twitter.com/thomas_pennec/status/1485724056880140295?s=20 IMPORTANT (comme tout le reste) Ici, rien n'appartient au hasard.
L'une des suites de "Je suis Bozo-machin"
Elle commençait à parler de mariage et lui, les ententes à long terme de même, ça l’énerve.
Il se disait en lui-même... Si jamais, c'était un tour du diable pour emprisonner mon âme pour l’éternité dans la peine de n’avoir même pas réussi à aimer assez pour mériter une toute petite place au paradis.
Barcelone 1992
Ce qui le préoccupait encore plus parce que plus qu’approprié au cadre de ses recherches sur le pouvoir mystérieux dont tout le monde parle dans les églises, mais dont aucun ne sait comment faire assez clairement pour l’expliquer. En n’importe quelle langue même inconnue ou celle d’un seul être humain. J’étais prêt, et je le suis encore, prêt à les apprendre toutes s’il le faut pour expliquer à mes sœurs et mes frères de tous les pays, que nous devons nous respecter les uns les autres, nous isoler si c’est nécessaire si ça n’emprisonne pas une ressource vitale à la survie de tous et non pas de quelques-uns seulement.
Le service militaire sera obligatoire à partir de maintenant pour toutes les personnes vivantes sur cette terre. Les groupes concernés : tout être humain entre l’âge de trois ans et la mort
Il venait d’écrire ces mots pour rire et se détendre un peu, puis il avait réalisé que c’était bien la réalité de sa vie à lui. Il se prit à rire en pensant à toutes ces versions humaines qui n’aveint rien de lui parce qu’ils diraient surement quelque chose comme : c’est de la merde ; moi je ne voudrais jamais vivre ça. Alors que lui. Il en était très content. Non pas de son ignorance du comment ça marche. Mais content de savoir qu’il l’a cherché toute sa vie. Pourtant, plus activement et intensément, genre 100 % du temps depuis 2001, le 19 février, en plein milieu de la nuit, il était décédé pour une nième fois, pour nième foi.
Ils les avaient tous essayés, les façons d’espérer une explication à ce monde de fous, une façon de se dire qu’un jour, on va comprendre et que donc, ça va finir par ne plus nous troubler. On saura comment se respecter au lieu de s’entretuer à cause de quelques-uns parmi nous qui contrôlions tout par le mensonge de la peur du diable qu’ils ont baptisé je vous rappelle, du nom de Satan. Conscientisait-il en constatant son sentiment pour ses sœurs et ses frères de toutes les religions, de toutes races, couleurs, ethnies, pensée, idéologie sans se battre ? C’est la peur qui est au pouvoir. C’est la peur du manque de l’essentiel sans assez d’amour pour exiger que l’on nous respecte assez pour dignement vivre, tous et pas uniquement quelques-uns. Les plus riches tremblent et pourtant, ils ont tout. La peur du manque, c’est la peur de la mort et tout le monde évite le sujet.
C’est certain que tous les sujets deviennent un peu difficiles à aborder quand on n’apprend même pas à se parler dans l’enfance. Les exemples que nous ont donnés nos parents, comme l’exemple que nous avons donné à nos enfants, n’incluaient pas le temps de vivre. Toutes les générations qui nous ont précédés ont dû donner la priorité à tout ce qu’ils jugeaient essentiel ou utile à leur vie. Se nourrir, se défendre. Depuis presque toujours, la plus grave menace fut invisible. Sans élaborer, ce fut le mensonge.
Au lieu d’apprendre à nos enfants à mentir, il faudrait leur apprendre à détecter les mensonges, dans les micro-expressions du visage une fois démasquées, comme dans la gestuelle et les choix de mots et de sujet. Parce que la partie du cerveau humain la plus ancienne et donc, la plus musclée fuira en tout premier lieu, avant même d’avoir identifié le danger parce qu’il pourrait être mortel. Ensuite seulement, les parties les plus adaptées à l’illusion de l’absence de danger par insensibilité programmée. C’est comme si l’on coupait le courant dans toute la ville, car c’est qui selon nous, nous protège. Le village est devenu mondial. Les seigneurs se sont rassemblés et ils ont décidé que tout désormais, serait graduellement sous leurs ordres.
C’est le mensonge qui est la source de la peur psychologique, car la surprise est nécessaire à la survie et l’on manque facilement de vigilance parce que trop occupé à penser à de simples potentialités futures. Si rien ne menace notre vie, détendons-nous. C’est facile. Il suffit d’accepter la sensation qui vient dans le ventre et avec cette sensation d’acceptation, simplement laisser passer les pensées et les vents invisibles des sensations vous traverser, de tous bords, tout côté. Vous allez sentir les lobes de votre cerveau bouger. Laissez-vous bercer par les bras éternels de la gravité. Comme un chaton, rentrez vos griffes et laissez-vous porter. Bougez la tête un peu. Lentement. De haut en bas et de bas en haut. De droite à gauche ou de gauche à droite. Revenez. Hochez de gauche à droite sans vigueur la tête. N’ayez peur de rien. Les vents sont avez-vous chaque fois que vous revenez à l’acceptation de ce que vous éprouvez dans votre ventre. Des pensées viendront toujours. Il est impossible de ne pas penser à cette toute petite bulle de confort enveloppé dans la peur et qui fait un peu mal, très longtemps. Il est impossible de passer toute une vie à la fuir. Chacun respecte les cycles des vents invisibles de la vie. Que l’on résiste ou non, ils passent au travers de nous. Savoir se détendre, c’est savoir garder son calme. Et garder son calme, c’est rester dans l’acceptation de nos états d’être. Nous avons droit d’être en colère. L’agent qui dérange la police parce qu’une personne exprime sa colère est soit un imposteur soit un dictateur dans l’âme. Les êtres humains doivent se parler pour survivre en tant qu’espèce et se parler de partage équitable des ressources. Nous avons tout plein droit de vivre et de nous défendre contre le suicide obligatoire. Nos comportements doivent tous changer. Il va nous falloir apprendre comment ça marche la communication entre nous et nos proches. Apprendre l’acceptation de la petite bulle. Elle est en vous pour être aimée. Si vous l’aimez, elle va vous combler. Ce n’est pas une fée, avec une baguette magique pour enfant. Ce qu’il importe de comprendre, c’est que c’est une petite bulle comme en font celles et ceux qui ont encore leur cœur d’enfant.
Il devint maussade soudain fatigué...
Le doute le taquinait. Neitchez en est devenu fou disait Lenoir. Un bruit de grêle sur la tôle. Le diable va en manger une maudite. Faut s’entendre sur les termes. Le diable, pour moi, ce n’est qu’un ensemble de représentations mentales tout affectées à la punition du châtiment éternel pour des banalités. C’est l’Halloween dehors. Le vent siffle. J’ai entendu une barrière grincer. C’est dans ma tête. C’est là que le cirque joue.
La première peur dont je me souvienne, c’était d’être enlevé. Les extra-terrestres dans mon cas étaient bien terrestres. En tout cas, ils en avaient l’air, sauf pour les masques du docteur et des infirmières.
Basile me dit que les extra-terrestres se tiennent dans les hôpitaux.
C’est vrai que la ressemblance est frappante. Ma mère surtout, avec sa petite lumière bleue dans le front.
Le vent l’énervait. Que voulez-vous ? Quand il se met à se bercer, c’est que la bulle lui travaille. Dès fois c’est l’envie de pisser.
Il téléphona d’urgence à sa version professorale, pour l’entendre lui dire : C’est justement quand tu n’as pas envie qu’il faille le faire, qu’il faut accepter d’être dans l’état de ne pas avoir envie de... L’idée, c’est de nommer ce que tu n’as pas envie de faire.
Ce sont des mots incompréhensibles et mon mal de couilles habituel m’énerve, en plus du vent. Dit-il ?
Tiens, il vient de tomber. Il décide de s’amuser.
Je viens d’entendre encore la grille. Si jamais les extra-terrestres extras, me contactaient en pensée jusqu’à les entendre même distrait donc en être surpris, je demanderais un passeport sanitaire, c’est certain.
« Mais Legault... il m’a inspiré pitié. Il a pourtant bien performé... », Je retiens ces mots. C’est de moi que j’ai pitié quand je le vois. Je me mets à sa place. Réussir financièrement et socialement au point d’attirer des gens à ces convictions, pour les décevoir à ce point. Il ne mérite pas plus l’enfer que moi. Si j’étais né des parents donc il est né. Si j’avais été traité comme il a été traité. C’est moi qui serais à sa place.
La grille encore et de plus en plus avec langueurs. Il y a un salon mortuaire de l’autre côté de la rue. Je n’aurais pas à me faire déplacer de beaucoup en frais de transport. J’ai envie de pisser. Ça va couter encore moins cher.
S’amuser avec ses pensées au lieu de s’empêcher des avoirs. Ma mère disait, ne pense plus à, quand le lui disais craindre qu’on m’enlève. Elle me cachait de la garde-robe quand on frappait à la porte. C’est pour ça que lorsque j’entendais l’expression faire sa sortie de la garde-robe, je n’entendais rien de ce qui suivait. Le moindre bruit et je serais more. Drôle, n’est-ce pas ? Derrière la porte, c’est un bouffon m’a-t-on dit et je l’ai vu une fois. Avec des talons hauts, ça doit sortir mal. Pour celles et ceux qui m’ont dit que j’étais homosexuel, vous n’avez commis aucun crime. C’était tout simplement un message de la vie et qui, en plus, insistait alors que ça n’avait aucun sens pour moi.
Heureusement que j’ai fini par l’entendre. Je n’ai pas eu besoin d’essayer. Je suis allé voir de la porno parce que j’étais très conscient d’avoir eu raté mes mariages, tous et ils sont nombreux. Alors, j’ai bien dû réaliser que c’étaient des objections religieuses dans ma tête qui me retenait et comme j’étais un peu en colère contre Dieu, j’ai décidé de regarder. Pas vraiment les hommes nus, mais cette sorte tout à fait adaptée au sapin que l’on est en train de se faire passer pas le père Noël Legault. Ils ou elles ont des boules et un pénis. En général, il y en a plus qu’un et ça augmente le plaisir, c’est une sorte de partage de la fierté masculine. C’est un jeu, sans compétitions.
C’est ça qu’aurait dû être notre vie sexuelle, mais dès le début, c’est vite devenu problématique, surtout que la matrice de nos enfances en était une de démolition de la confiance en soi et pour la vie, comme l’avait été l’enfance de nos parents par l’église qui fait les guerres des dieux en complice contre nous. J’ai aussi ma part de responsabilité dans toute l’histoire. De fait, j’avais dix-neuf ans et je n’avais pas encore fait l’amour avec une fille. Mon beau frère m’agaçait avec ça. J’ai menti, mais mentir moi, je me trompe tout le temps dans ms mensonge et puis ça fait mal à la bulle de se faire prendre à mentir. Dans le fond. J’aurais pu parler au passé, parce que le mensonge n’est pas non plus le pire des mensonges. Mais qu’est-ce que je viens de dire là ?
Nous avons besoin de feindre le calme face à un danger. C’est la première stratégie militaire défensive dirais-je. Les animaux font de même. La société fait de même. Ce sont les cases de la matrice de contrôle que tisse l’araignée, par analogie. Des feintes offensives, ça existe aussi. Je peux faire une manœuvre qui indique l’un des chemins de raisonnement qu’adoptera l’ennemi ce qui devient un nouvel élément dans l’analyse stratégique de l’autre.
Imaginez, dix-neuf ans et encore vierge. Pour un gars, c’est gênant. Lors d’une profonde réflexion sur le sujet où j’avais convoqué toutes mes versions sous les draps, j’ai prié le diable. Il m’a exhaussé et j’ai rencontré ma première, une vraie démone. Je l’ai même vu, une fois sur une photo, avec son costume de diable. Moi les démons, le célèbre, en tous les cas, le plus célèbre dans les églises, un nommé Satan, fais désormais partie de mes clients. J’espère qu’avant de me lire, vous aviez les idées claires. Parce que je me suis arrangé pour vous les dévoiler vos pensées. Non pas pour voler votre âme, mais pour que vous puissiez vous élever vers Dieu. Si vous êtes obèses comme moi, ne vous en faites pas. L’âme est très légère comme une bulle de savon. Quand elle éclate, seuls l’eau et le savon tombent par terre. Vous, vous continuez à vous élever. Vous êtes faits de vibrations d’énergies, un souffle d’onde, une acceptation transparente de tout, le bien comme le mal de chacune de nos vies, de l’histoire d’amour qui a libéré l’énergie que vous êtes. La liberté c’est le vaccin dirait le curé Legault, mais pas moi.
Moi je dis plus que ce qui a été dit jusqu’à ce jour. Je dis la vérité même si j’en suis indigne. C’est parce que j’ai la faiblesse de compréhension d’un trama important le six aout 1945. Mon appareil a éclaté en morceaux. Mon parachute s’est heureusement ouvert, parce que j’ai atterri dans les arbres où je ne sais qui m’a décroché. Moi je saignais de partout. J’avais abandonné tout espoir. Ils m’ont remis sur pieds. J’ai encore combattu. Puis, j’ai dû me cacher dans la forêt avec les loups. Ils m’ont apprivoisé plus que moi je les ai apprivoisés. Certes, ce fut effrayant au début. La première nuit. Je les entendais hurler. Je croyais vraiment qu’à l’heure du repas, j’allais servir de bifteck saignant aux limites du possible. Et le lendemain, ils ne m’ont pas mangé. J’ai fini par comprendre ce qu’ils racontaient. Je montre les dents uniquement si je suis certain qu’il y a un danger immédiat, mais depuis l’attaque, je ne réagis plus instantanément. J’imagine que la partie la plus ancienne de la fonction la plus ancienne de mon programme est amochée.
Bref, d’un souvenir comme d’une énergie à l’autre. Le ciel bleu foncé, la lune et la gueule du chef, se marient en une image dont les données qu’a analysé mon cerveau, étaient propices à suggérer une perfection. J’étais calme à nouveau. Les suites, tous mes livres m’apprennent à en parler.
Le loup, le diable, le virus, l’enfer, c’est assez semblable comme concepts. Ils n’ont aucune mauvaise intention quand ils deviennent chefs de la meute, ils ont appris l’importance de la protection de tout le monde. Il arrive qu’ils en laissent.
Il se dit en déposant sa plume que le mariage n’est pas l’amour quant au départ, on prévoit de divorcer, ce qui fut le cas de bien du monde. Quand on ne se connait pas et que l’on n’aime pas sa propre bulle ni aucune des beautés de notre monde. On est endormi. Nous l’avons tous été. L’éveil est affaire de conscience personnelle. Dans un couple, les deux doivent chercher à s’élever.
L’amour survivra à la vie même, c’est l’énergie première. Dieu. Il faut aussi en parler entre religions, non pas pour s’unir contre l’espèce, mais pour unir nos forces de résistance à la tuerie de moutons guidés par les loups déguisés en berger roumain des Carpates. La violence est inacceptable. Les pensées doivent s’harmoniser le plus possible et le rapprochement des bulles qui s’entrechoquent sans n’en former qu’une, les fera éclater toutes les deux. Prudence est de mise.

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