C2 Contextualization
- avecdieuseul
- 12 janv. 2022
- 3 min de lecture
Dernière mise à jour : 13 janv. 2022
Ce que vous lisez actuellement est le résultat de la création graduelle d’une histoire, qui sera publié sous forme imprimée dès qu’elle aura atteint, au plan composition, un nombre de 150 pages.
Les personnages y seront nombreux et ne seront pas toujours clairement identifiés, car plusieurs se confondent en une seule personne qui est l’observateur de l’écrivain de Dieu lequel rédige son testament avant de léguer son incalculable fortune aux enfants du Québec en tout premier, puis par propagation virale aux enfants de toute la terre. Eh oui, de toute la terre entière et en usufruit.
Il est notaire dans l’une de ses vies. Une femme et non pas un homme comme dans la présente. Mais le savoir féminin du réel notariat québécois, c’est quelque chose. Je vous prie de me croire. Ce sont les meilleures au monde.
Les sujets y seront de tous types et généralement liés à l’actualité moderne de toutes les époques, car elles le sont toutes, de quelques sortes que ce soit.
Un monde nouveau est en train de naître et il nous faut tous le mettre au monde, comme le dernier survivant du plus grand des cataclysmes qui se soit abattu sur l’espèce humaine, la dictature totale sur le corps et l’esprit.
Cette dictature, va s’établir qu’on le veuille ou non, mais non pas par celles et ceux ou plutôt ceux et celles qui voudraient posséder chaque être humain en pleine propriété meuble et immeuble de corps et d’esprit, en revanche ujuste et équitable par le pouvoir suprême du Dieu unique qui gouverne tout dans l’univers et qui vous sera expliqué et non imposé par la force physique, le harcèlement, l’acharnement thérapeutique, l’intimidation, la menace, le chantage, la privation de liberté de déplacement et de libre accès sans passeport de quelque nature que ce soit à quelque lieu public que ce soit.
Je ne suis pas en train d’écrire une loi, dit-il à sa secrétaire qui n’arrivait plus à suivre. Je proclame ma pensée !
Elle, de répondre en criant du haut du troisième étage de la bibliothèque nationale : « Quel sera le titre patron ? »
Lui, en élevant le ton pour qu’elle comprenne bien de la première fois, il crie à tue-tête : « Le concerto pour violon de Dame Hilary Clinton » et elle de répondre à la vitesse d’un éclair : « mais, ils vont encore vouloir vous tuer patron ! ».
Qu’importe. Il faut bien mourir un jour ou l’autre et ça pourrait tout aussi bien être une nuit m’étant endormie dans les bras des fées, des elfes ou des anges.
Elle de répondre : « Les sirènes tant qu’à y être. », toujours en criant comme les violons et les contres bas du rythme saccadé de premières notes du troisième mouvement de son air préféré, comme lorsqu’il y a tant à prévoir et que l’on se déplace à petits pas dans le gravier pour ne pas tomber dans la benne, prêt à se battre jusqu’à la victoire contre plusieurs agresseurs. Vous savez, ajoute-t-il.
Patron, lui répondit-elle, en arrivant au bas de l’escalier « Vous n’avez plus l’âge que vous aviez lorsque je suis entré à votre service »
Mais, laissons de côté l’écrivain et sa secrétaire pour continuer de vous expliquer, non pas Dieu. Pas tout de suite quand même. En revanche, juste la trame de fond de l’histoire qui englobera toutes les autres dans cette saga des plus inhumaines et touchante que fut le procès final de la secte du droit des Hyènes fondé en Turquie et établie au Québec depuis le début des années 1980.
Nous vivons à une époque où la haine est en pleine expansion. Il y a crime contre l’espèce humaine et il y a de grands et de petits coupables, de grandes et de moins grandes victimes, de pires et de moins bourreaux, de petits et de grands collabos des milliards de héros, enfin brefs, le jugement dernier en direct et vingt-quatre heures par jour sur toutes les chaines et les médias sociaux en totale synchro.
Les avocats ne se comptent pas. Certes, ils ne sont pas tous présents aux écrans des pensées de chacun, mais tous participent. Ils sont conseillés par Me Jessie James et Me James Jessie.
Voilà. C’est tout pour aujourd’hui. Faites-vous une idée vous-même de la composition de la mondiale magistrature impliquée.
Comments