Extrait (Journal intime d’un mort de la Covid)
- avecdieuseul
- 17 sept. 2021
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : 20 sept. 2021
Il est 22 h 55 ce 15 septembre 2021 et la fatigue me gagne. Le contenant communique forcément avec le contenu et le contenu avec le contenant. Qu’on le veuille ou non, ça n’a rien à voir avec la volonté ou la foi.
Peu importe nos choix, nos façons d’être dans cette crise, nous sommes tous souverains dès l’instant où l’on commence à penser par soi-même et ceux qui en sont incapables, ne sont pas les méchants, ce sont des inconsciences. Dieu est conscience globale en contact avec chacune de ses parties au travers des unes des autres. La souffrance nécessaire. C’est un indicateur d’entraînement, par exemple, lorsqu’il faut former un muscle. C’est un système d’alarme protecteur de nos organes, par exemple, par la sensibilité de la peau. C’est donc que Dieu souffre autant que nous souffrons. Alors quand on lui reproche nos souffrances, il est utile de nous rappeler que lui aussi forcément éprouve toutes nos douleurs.
Aux armes « citoyens » ! Armez vos bataillons, marchons, marchons. Qu’un sang impur abreuve nos sillons.
J’aimerais que disparaisse cette situation de guerre. Je me dis parfois que c’est ma pensée qui crée ce monde. Je suis l’une des bulles du contenu de la bulle des mondes. Et, ma communication avec le contenant a entraîné en une prise de conscience.
J’ai entendu une musique provenant de la rue. J’ai fermé les yeux. Je voyais des lignes d’ondes, des mouvements vectoriels définis par de minces lignes. La musique de la rue s’est estompée. Puis, j’ai continué d’en entendre une autre, qui provenait de l’Intérieur de moi-même. Et, c’était la Marseillaise. J’ai gardé conscience, je l’ai entendu assez longtemps. Le sang dans les sillons, un sang impur n’est pas le sang des vaccinés ou des non-vaccinés, c’est le sang de nos ennemis. La guerre va bientôt rager.
J’espère que ce ne sera pas moi, comme si Dieu faisait une crise de foie. Dieu n’a personne contre qui se battre. Dieu ne connaît pas là division. Certaines parties de son contenu sont malades. Alors, il les soigne. Nous allons tous éprouver les spasmes de l’indigestion. La nausée est déjà présente. Pour plusieurs, ce sera la mort. Quand je dis plusieurs, j’espère que vous comprenez que nous allons tous mourir un jour ou l’autre.
Une vie, c’est comme une bouffée d’air pour Dieu, une goutte de son sang, une cellule, un mouvement, un mot, un son, une pensée. Le Big Bang est un pet dans toute cette histoire. The Big bag, surtout s’il est noir, c’est une autre histoire.
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