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Gestapo municipale à Granby (Ville des animaux rares).

  • avecdieuseul
  • 28 sept. 2021
  • 8 min de lecture

Dernière mise à jour : 4 oct. 2021

Propagez cet article au maximum, si vous souhaitez m’aider à survivre aux menaces de mort auxquelles je suis soumis. Sinon, j’ai le regret de vous affirmer, que vous favorisez ce type de maltraitance exercée contre les personnes en fin de vie, les écrivains critiques de l’autorité abusive et vous-mêmes. Ils ne s’arrêteront jamais. C’est à nous, de les chasser du pouvoir.

Visite par huissier au lieu d’une lettre par la poste. Notez qu’ils prennent la peine de mentionner dans leur signification, qu’ils ont tenté de me joindre à plusieurs reprises, ce qui est totalement faux.


D’ailleurs, c’est ce même service juridique de la Ville de Granby qui devait me faire parvenir le rapport de police concernant la tentative de meurtre du 30 juin dernier sur ma personne au plus tard le 19 aout, qui le retient, retardant ainsi le traitement de mon dossier par l’IVAC (Indemnisation des victimes d’actes criminels).


Ils n’ont pas réussi à me faire taire et donc, ils exercent toutes les nuisances possibles, me privant de revenus pour m’affamer.


Visite du 27 septembre 2021

Gestapo ou "police privé" annoncé par Mme. Guilbault


Visite du 23 septembre 2021




Lettre datée du 20 septembre, livrée par huissier le 27

Note : le fameux règlement général est un document de 782 pages et il ne suffit pas de lire les articles 11 et 12, mais des heures de lectures sont nécessaires pour comprendre toutes les interactions entre les divers articles et règles connexes.


Réglement général de la ville de Granby

CHAPITRE III POUVOIRS



11. Visite des immeubles

Tout officier municipal, agent de la paix et tout membre du Service des incendies pour
l’application du titre XIV et des articles 350, 350.0.1 et 350.0.2, dans l'exercice de ses
fonctions, est autorisé à visiter et à examiner, à toute heure raisonnable, toute propriété
Codification du règlement numéro 0047-2007 …21 mobilière ou immobilière, ainsi que l'intérieur ou l'extérieur des maisons, bâtiments ou édifices quelconques pour l’application du présent règlement ou de tout autre règlement. (règ. 0129-2008, art. 4) (règ. 0921-2020, art. 2)

12. Autorisation

Tout propriétaire, locataire ou occupant d'une propriété mobilière ou immobilière, d'une
maison, d'un bâtiment ou d'un édifice quelconque est tenu de laisser pénétrer, à toute
heure raisonnable, tout officier municipal et tout membre du Service de police et du
Service des incendies aux fins d'inspection.
(règ. 0129-2008, art. 3 et 4)

Notes essentielles :

Je refuse de me conformer à un règlement municipal qui — pour comprendre lequel, il me faudrait payer une firme d’experts, pour en analyser toutes les implications — qui enfreint mes droits fondamentaux et naturels, dont celui de mourir en paix, de jouir paisiblement de mon domicile, de défendre mes droits et ma vie.


Ce type de harcèlement par ce que j’appelle la police des mœurs ou la police des modes de vie a commencé en 2019 alors que j’ai été cloué à mon lit 20 h par jour le ventre ouvert dû à une chirurgie majeure en 2 étapes qui devait se compléter au mois de septembre ou début octobre de cette même année et qui fut retardé par les magouilles de notre gouvernement qui projetait déjà de détruire notre système de santé et le Québec tout entier pour le vendre aux mondialistes criminels de la planète.


Un voisin avait porté plainte parce qu’il avait remarqué que je n’avais pas descendu mes sacs vidange depuis quelques semaines. Je ne parle pas d’une situation d’insalubrité, car les sacs étaient étanches et que j’allais descendre le jour où l’énergie physique me permettant de le faire serait là quand j’avais de la difficulté à parcourir la distance entre mon lit et la salle de bain ce qui représente un peu moins de dix pas.


Une dame ainsi qu’un inspecteur du service des incendies était venu vérifier pour savoir si j’avais un détecteur de fumée d’installé, mais le vrai but de la visite était de porter atteinte à ma dignité humaine la dignité d’un mourant soumis à des souffrances atroces innommables à cause d’un gouvernement de bandits de purs assassins, portant des commentaires sur la propreté des portes de l’armoire de ma cuisine.


J’étais tremblant, transpirant et faible au point où j’ai dû m’asseoir, parce que j’allais tomber par terre. Ces représentants de la Gestapo québécoise et grandbienne n’ont eu aucune espèce de compassion humaine à mon égard. Au contraire, ils ont totalement ignoré et violé ma dignité d’être humain par leur insensibilité.


Comme si ça n’avait pas été suffisant comme insulte, le 28 octobre de l’année suivante, donc 2020 : ils ont osé se présenter sans rendez-vous. « On était dans le coin » comme si cela rendait légale une visite sans rendez-vous, la traitant comme s’il s’agissait d’une visite comme de courtoisie. Plus imbécile que ça on meurt debout. Et le « vrai but » de leur visite n’avait rien à voir avec les détecteurs de fumée, mais bien avec mes tâches ménagères puisque madame Yolande Baudry, la préposée de la Gestapo de la ville de Granby, n’a trouvé qu’à me poser une question concernant mes tâches ménagères — « le ménage est-tu faite ? » a-t-elle demandé —, lorsque j’ai contesté son droit d’être présente devant ma porte, au deuxième étage, sans rendez-vous.


J’étais d’ailleurs en train de parler au téléphone avec la représentante de mon service-conseil concernant une affaire avec le géant Wal-Mart qui m’avait expulsé de son magasin parce que je ne portais pas de « masque » parce que j’ai une condition médicale très grave de détresse respiratoire permanente qui m’a conduit aux urgences six fois dans les dernières années presque à l’article de la mort.


Tous les niveaux d’autorité dans notre société sont parfaitement corrompus et au service de criminels internationaux. Ils travaillent en équipe de manière à exercer le maximum de représailles sur quelque citoyen dérangeant leurs normes secrètes de soumission.


Visite impromptue 28 octobre 2020


Une visite de l’État policier

Ici, la réponse de la ville concernant le rapport de police dont j’ai besoin pour le transmettre à l'I.V.A.C. et ce, pour une enquête inexistante puisque les bandits étaient cagoulés, et donc impossible à identifier par quiconque autre que ceux qui savent de qui il s’agit. Donc entre le 30/06/2021 et le 04/10/2021, il s’est écoulé 96 jours soit trois mois et quatre jours pour une "non-enquête". Il s’agit purement et simplement de nuisance intentionnelle de la part de la Ville de Granby, au travers de son service de police et de son service juridique. Il s’agit de représailles pour me faire taire en me privant du revenu de mes livres autant que des indemnisations auxquelles j’ai pleinement et doublement droit vu que ce sont les autorités conjuguées et complices qui m’intimident.




Extrait de « Journal intime d’un mort de la Covid »


Ne me préoccuper de rien d’autre. Ne rien poster sur les médias sociaux ne rien faire où ne faire que des choses différentes pour le mode service observer mes pensées mes scénarios. De toute manière, ce que je fais n’a aucun impact. Et, pour ce qui est des besoins affectifs de contact humain étant donné qu’ils sont tous de même nature, c’est-à-dire des représentations mentales de quelques joules, quoi que je fasse, ce sera toujours le même résultat. Avec les gens réels, ces dernières années ici à Granby touche des prophètes ou des démons. Je n’ai jamais eu de contact humain avec qui que ce soit. C’est-à-dire que ce que je considérais être des contacts humains autrement dit, mon expérience de vie adulte avec ma femme avec mon enfant avec mes parents quand j’étais enfant, c’étaient des illusions. Je croyais que l’on m’aimait, et dans une certaine mesure c’était vrai, mais en même temps tellement puisque le moindrement que l’on ne peut plus tenir un certain rôle dans une collectivité familiale ou autre le rôle que l’on attend de vous que l’on soit habitué de vous voir jouer, vous êtes rejeté. Vous devenez un fardeau surtout si vous êtes malade et d’autant plus, si cette maladie et mal connue.


Nous accordons tellement d’importance à l’intelligence, nous les êtres humains, parce que c’est comme la corne du rhinocéros, les défenses de l’éléphant, les griffes du tigre. L’intelligence pour l’être humain, c’est ce qu’il a développé comme arme la plus efficace. Et, sa corne, ses défenses et ses griffes. C’est d’ailleurs pour cette raison que la première insulte que l’on fera une personne sera de ridiculiser son intelligence de prétendre qu’elle n’en a même pas.


M’observer et ne faire que ça, que ça soit en en accomplissant une tâche ou en méditant. Finalement, ça a confirmé toute ma journée que de préparer la réponse à la ville de Granby. Ce n’est pas facile parce que je me perds vite dans mes pensées. Je me berce. Je regarde autour de moi tant de choses qui ont eu de l’importance une certaine journée des accessoires que j’ai dû acheter pour installer mon bureau qui serait beaucoup plus simple si la situation n’avait pas été celle d’une crise ma vie serait menacée. Mais, j’ai vite compris au début que ce serait le cas.


Au début, cela se combinait parfaitement avec mon projet commercial, parce qu’il s’agissait de développer des applications facilitant l’apprentissage et là mémorisation. Le premier besoin de l’être vivant étant la sécurité, j’ai utilisé ce que m’inspiraient mes propres craintes. Soit, tout ce qui concerne la protection, la sécurité, la surveillance, les vêtements tactiques avec des coques amortissant les coups. Les équipements tactiques, armes légères. En même temps que ce qui était requis d’un point de vue informatique, mais aujourd’hui on dirait que cela se détache, comme une section de fusée laissée derrière et qui devient de plus en plus petite, sur un fond noir d’étoiles. Parce que le projet ne se réalisera jamais. La société est en train d’être détruite. C’est-à-affirmer, que toutes les illusions de la société, sont en train d’être détruites.


Je ne sais pas ce que c’est que d’être moi-même. Je ne savais même pas que quatre-vingt-quinze pour cent de mes pensées constituaient un monde, totalement faux.


Mais ce qui s’est passé aujourd’hui est assez important. Il n’y a pas de hasard. Un homme habillé un peu à ma ressemblance. C’est-à-dire, avec des caractéristiques permettant de m’y identifier. C’était une petite équipe de tournage, avec très peu d’équipements bien entendu. Téléphone cellulaire et un trépied avec éclairage de type projecteur. Mais cinq personnes. Donc, assez pour attirer l’attention, d’autant plus que le cinq est, semble-t-il, mon chiffre. J’avais posé des questions à mes guides, ma famille galactique. Et, c’était donc la réponse, me suis-je dit en constatant que la scène me concernait. J’avais posé la question de savoir — est-ce bien ce que je suis en train de faire. Ce que je suis en train de faire maintenant, c’est de continuer à dénoncer les crimes qui sont commis contre moi en tant qu’écrivain en tant que citoyen tout en continuant d’écrire le livre qui au début lorsque j’en ai imaginé le déploiement avait pour projet de justifier les bons comme les méchants.


Je ne vous cacherai pas que la tâche est devenue de plus en plus difficile, avec le type de décision que nous ont imposé nos gouvernements. Mais, j’y crois encore. Mon principal problème ce sont les dérangements bien entendu lorsqu’on se fait fracasser le crâne avec une matraque, cela prend des semaines, voire des mois et des années, pour rééquilibrer certaines énergies en soi-même. Et depuis dix-huit mois tout le monde sait que les mauvaises nouvelles les pressions sociales il y en a à tous les jours et toujours et deux ou trois importantes chaque mois où je suis devenu de moins en moins de citoyens que j’ai été tout début de cette crise base ou je croyais encore à la charte des droits et libertés du Québec, la charte canadienne, la Déclaration universelle des droits de l’homme.


Quoi qu’il en soit, l’évènement synchronicité d’aujourd’hui m’interpelle. Le mime était le suivant : un policier au coin de l’édifice du Spa surveille en direction de la rue principale. Il voit quelque chose, puis avec son microphone sur l’épaule — c’est pour ça que je sais qu’il mime un policier — appelle à la station. C’est tout. Compte tenu du fait que j’ai deux caméras qui pointent en cette direction, l’on me demande — je crois — de surveiller en cette direction ou l’on me prévient que l’on me demandera un enregistrement vidéo, puisque c’est déjà arrivé.


Des phrases me viennent en tête, comme « Si vous affirmez qu’il ne faut pas croire en Dieu parce qu’il est invisible et que ceux qui en perçoivent les signes sont des personnes sottes : rappelez-vous que le danger existe, sans que vous puissiez le voir autrement, que par les signes qui l’annoncent. »


« Mon essence n’est que divine au sens de globalité. Ma nature, elle, est un composé, l’un des modes d’expression de la globalité. »



 
 
 

1 Comment


serge.bourget
Sep 28, 2021

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