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Il ne peut s’empêcher d’imaginer…

  • avecdieuseul
  • 28 nov. 2021
  • 4 min de lecture

... des cinémas Tok de violence extrême où l’on tue des fantômes chasseurs de bactéries déguisées en policiers.


Ce qui m’arrive c’est que j’essaie de m’arracher à ce monde en ne consacrant plus mon temps qu’à l’apprentissage du piano et de l’italien, mais j’en suis incapable.


Une énergie s’empare de lui. Une énergie de violence. Une énergie de colère et de rage. Cette énergie lui fait perdre conscience de la réalité.


Nous sommes en train de nous élever au-dessus de toute souffrance, au-dessus de tout blâme pour toutes nos culpabilités, en tant que collectif humain. Entend-il ?


Qu’est-ce que ça donne de me battre avec moi-même ?


Je suis écrivain. Je ne serai jamais pianiste. Tout au plus si je retrouve le calme, apprendrais-je quelques morceaux. Ne serait-ce qu’un seul, pour m’épater moi-même ?


Je n’ai pas l’énergie qu’il me faut. Si je ne fais rien, je ne passerai pas l’hiver.


Ça me pue au nez d’aller dehors. J’ai peur. C’est que je dois m’armer émotionnellement pour être capable de sortir. Je dois rassembler mes idées de manière à être capable de faire face à ce qui se passe à l’extérieur même quand ce n’est rien. Et cette contrainte épuise mon esprit. Bien sûr, une fois acclimaté à la température et au visuel, l’air frais me réveil.


J’ai imaginé des prisonniers du diable se faire offrir le moyen de ne jamais devoir sortir. C’est que je me sens mal chaque fois que j’avais rencontré des chrétiens qui trouvent toujours le moyen de parler de rétribution dans l’enfer de péché peu importe les sujets qu’ils abordent le problème n’est pas au niveau du sujet, mais au niveau de la façon dont le traité toujours de manière hypo cryptée. Il parle toujours comme si l’on était dans l’erreur, mais de manière que l’on ne puisse objecter quelque question que ce soit.


La première frustration vient du fait que lorsque j’y vais, c’est pour rencontrer des gens. Mais, ce ne sont pas des gens. Ce sont des messages, des programmes, des programmes de la matrice.


C’est un jeu complexe que je ne comprends pas. Où dans les personnes qui sont présentes, il y en aurait une qui me représente, d’autres qui peuvent prendre ma défense, d’autres essayez de me tromper, d’autres me décrire, mais de façons souvent caricaturales.


Je crois que la seule raison qui pourrait me donner envie d’y retourner...

C’est que dans la personne qui me personnifie, la question se pose toujours de savoir de quel côté elle se trouve religieusement.


Et il semble que l’on me dépeigne comme étant du mauvais côté.


Ce qui enlève donc toute valeur à ma vie. Et qui voudrait donc dire que j’aurais été trompée depuis tant d’années, tant de milliers, de dizaines de milliers de fois, où Dieu m’a aimé...


Tous ces trente-trois n’auraient été que des leurres de mon esprit…


Ils me font me sentir comme si je n’étais pas sauvé. C’est pour ça que je me suis éloignée des églises, pour me rapprocher de Dieu. De toute façon, j’ai vu le diable pour la première fois dans les églises. Je n’en avais pas conscience avant. Et quand je parle du diable, je ne parle pas du diable tel que les gens l’entendent. Mais de l’un des concepts fondamentaux de la philosophie, l’être ou ne pas être de Shakespeare. Le néant n’existe pas autrement qu’en concept. L’antimatière n’est pas absence de matière.


Ce qui importe de me rappeler en ce qui les concerne c’est qu’ils me font sentir ainsi et que c’est là leur fonction. Ce qui m’est donc certainement utile.


Dans un premier temps, c’est l’occasion d’apprendre à gérer ce type d’énergie. Si j’essaie de la décrire, c’est d’abord une énergie de peur de déception de tristesse et de toutes les émotions que l’on puisse imaginer puisque ce serait un rejet de l’amour même que j’ai reçue de la vie par Dieu.


Il y a toujours un contre scénario. Je pourrais décrire le paradis terrestre à la perfection qu’en même temps, la description de l’enfer serait faite par son contraire.


Ce qui m’épate en même temps, c’est que ce type de ressenti se manifeste toujours à la même heure, le même jour de la semaine, de l’année et avec le même type de pensée.


Mais, c’est cette énergie, c’est une énergie de destruction. Forcément, puisqu’elle est désagréable, mais peut être que ce que je viens de dire est faux.


C’est une énergie cyclique probablement comme toutes les énergies. Elle transforme ma façon de voir. Même mon environnement immédiat, parce qu’au moment où je l’ai éprouvé, en regardant mon micro-ondes et mon comptoir de cuisine, qui est débordé, je me suis sentie sale, moi-même. Alors qu’en temps normal, cela est vraiment secondaire pour moi. Le désordre, la malpropreté des comptoirs ou de la vaisselle ne me dérange en rien, sauf bien entendu, lorsqu’il y a des témoins ou que la saleté ne m’appartient pas. C’est un choix de priorités chaque seconde d’énergie, pour moi, a toujours compté plus, si elle « ciel » était consacré à comprendre Dieu, à comprendre le monde et à l’accepter tel qu’il est.

En passant, c’est ainsi qu’il me faudrait être capable d’accepter les gens dans leur différence, c’est-à-dire même, ceux qui actuellement se comportent de la façon la plus sensible pour moi. Peu importe comment ils se comportent, ils ont le droit d’être ce qu’ils sont. Je m’excuse parce que je les ai jugés, méprisé et insulté. Mais si Dieu leur a permis d’être ainsi, qui suis-je moi pour leur interdire, quoi ?




 
 
 

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