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J’ai vu beaucoup de mes amis et ennemis s’élever d’un même sourire pacifié, et, pacifiés ils étaient

  • avecdieuseul
  • 30 déc. 2021
  • 2 min de lecture

J’ai vu beaucoup de mes amis et ennemis s’élever d’un même sourire pacifié, et, pacifiés ils étaient. C’est ce que je voulais. Le rythme est impressionnant.



Ça m’inquiète. Je ne parle pour personne autre que moi-même et en plusieurs versions parfois, mais généralement au nom de celles qui me protègent du Dieu qui de sa connaissance accuse et condamne alors que celui de mes aspirations les plus élevées, celui de ma mère, n’accuse et ne condamne pas, il enseigne comme une maman sait le faire.


Il y a des jours où l’on me menace, mais c’est rare. Il y a ma grande famille qui me protège.

La pluie des saisons me calme. Aussi les orages d’idées et leurs pensées connexes. Je suis administrateur unique de ma pensée dans mon empire. Seuls roi et maître après l’unique Dieu. Je parle du Dieu qui planifie tout instantanément et sait résoudre tous les problèmes. Le seul qui pût concevoir l’harmonie parfaite avant même notre conscience en la sienne.


La pluie des saisons me calme. Alors, les orages d’idées et leurs pensées connexes. Je suis administrateur unique de ma pensée dans mon empire. Seuls roi et maître après Dieu unique, celui qui planifie tout et sait résoudre tous les problèmes. Celui qui est le seul capable de concevoir l’idée même de l’harmonie parfaite.


La pluie me calme comme la mer pour certains. La mère ou la mer, c’est la même chose.


J’ai mes combats. J’ai mes défaites, et elle ne dure pas. Sinon, elles ne durent que quelques instants. Le temps d’en faire des connaissances d’histoire de victoires. Combats-toi, toi-même. Disait Napoléon Bougetapart.


C’est une entreprise d’acquisition et de vente de grands hôtels et casinos. De gigantesques édifices apparemment comme vous n’en avez jamais vus. Des châteaux bleus de partout pour meubler le monde, pourvu que ça nourrisse les orphelins. Celles et ceux que Dieu a choisis pour le servir aux grands comme aux petits offices. Je n’écris pas pour la gloire, mais pour les orphelins qui ne reçoivent pas les premiers soins à tel point que certains sont devenus des robots.








 
 
 

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