Crypté 5 Presque secret de pantins.

L’une des plus belles femmes au monde.

C’est l’évidence même, dès qu’elle ouvre la bouche et commence à parler. Je lui fais confiance. C'est important. Son articulation simple des choses les plus essentielles de la vie, m'aide à mieux comprendre des choses humaines que je n'arrivais pas à nommer.

Avis: Les personnes réelles que je présente ou dont je parle, ne savent pas nécessairement. Je parle de ce que je sais autant que de ce que je ne sais pas. (art. 19 Déclaration universelle des droits de l'homme.)

Même s’il y en a des milliards, elles sont toutes belles, la beauté chez certaines, se cache derrière les effets à long terme des publicités de taille bibliques autant que coranique en lavages de cerveau quand ce n’était pas par implantations de substance noire et autres sources très fiables dans l’histoire humaine qui ont cloué des milliards de milliards de tonnes de pierres plus que précieuses, des milliards d’organes, de cœurs, de fois, de reins, de poudre d’os pour les chiens de la finance, des milliards de vies humaines, de vies de femmes, de vies d’enfants et de vies d’hommes issus d’un croisement animal au sens que vous voudrez bien lui attribuer. On s’en câlinât ! C'est ainsi.

La planète en sera bientôt détruite à cause de toutes ces dépenses religieusement militaires et de soins autant que crimes de santé pour tenter d’en cacher les plaies physiques et psychiques conséquentes.

La femme doit tenir le premier rang, c’est une question de respect de la dignité de la vie pour les hommes vrais et qui savent vivre uniquement pour servir Dieu. Personne ne doit servir un autre maitre. Me suis-je bien fait comprendre ?

Et ce maitre est ferme certes, mais doux comme le miel des abeilles, au contraire de ce que vous en dites. Ces reines et princesses de la couronne de Dieu, qui elles le servent sans critiquer ou se plaindre parce que leurs moindres désirs ne sont pas satisfaits à leur guise comme la plupart des ignorants et non pas tous. Avez-vous compris ?

Si tu bats une femme par chez nous, ce pays plus haut que toutes les montagnes de l’univers l’une par-dessus l’autre, tu te fais descendre par la famille. Non pas si tu la respectes. M’entends-tu ? Puisque là, au contraire, tu seras invité à joindre notre famille, ses règles et tous tes ennemis auront envie de te ressembler, ils te respecteront comme nous, nous t’apprendrons à le faire.

La famille de toutes les familles de la terre. Ça n’est rien. Une triple négation. C’est nous désormais qui donnons les ordres sur terre.

Faites moins d’enfants proportionnés garçons et filles, mais apprenez à en faire des hommes et des femmes meilleurs que vous ne l’êtes, vous-mêmes. Sinon, vous aurez affaire à moi dit le Père de mon père Abraham. Tous les êtres humains sont mes enfants. Ne les donnez pas à qui se prend pour le diable actuellement. Il est sous nos ordres le vrai Satan et nous en faisons ce que nous voulons. Si même, c’est un plus grand bien que tous les petits hommes vaccinés ou pas vaccinés de la terre tout entière. Vous n’allez jamais les séparer de moi pour servir vos fins. Pour chaque blessure, je multiplierai vos souffrances par mille. Mes propos vous sont-ils ambigus ? Chers experts de merde télévisés ou vendus aux pantins.

Regarder les vraies femmes et les vrais hommes dans leurs vrais quotidiens et au niveau des confidences sans juger comme s’il s’agissait de vous-mêmes devant le Père de tous ciboire ! Il n’est pas comme vous supposez. Il vous aime et réclame à tout prix votre plus grand bien. Écoutez des gens qui savent de quoi ils parlent parce qu’ils l’on vécut et oublier, ce faisant, vos programmations bioformatiques comme toutes ces propagandes haineuses religieuses contre les autres religions ou qui ou quoi que ce soit qui ne dit pas exactement la même chose qu’eux. C’est une intelligence artificielle qui pense de cette manière, pas un être humain connecté à ses sentiments sources de vie, ses motions intérieures parfaitement naturelles et surtout intelligentes pour de vrai, elles. Les robots ne me font pas peur disait Albert l’un de nos contremaitres lorsque nous avons proposé cette série fondée sur des modèles désuets.

Admettez donc la réalité une bonne fois pour toutes. Il n’y a pas que les terroristes sont terroristes. Les journalistes inscrits au compte des paies de toutes les compagnies complices, personnes immorales ou morales. Nous avons accès à tous les dossiers. Ce qui est pour eux, un avantage, s’ils devaient répondre à certaines questions, car ce serait pour elles et pour eux, une parfaite opportunité de se racheter simplement en se donnant le droit de se l’avouer la vérité. Oui, je suis de telle ou telle autre façon. J’ai souvent fait de déplorables choix et j’en ai parfois honte. Comment puis-je payer ma dette à l’humanité ?

Je jouais des rôles, dans ma propre vie.

C’est simple et c’est un bon début.

Oubliez le bien et le mal pour quelques heures ou la quantité de temps que vous voudrez. Ce n’est pas le sujet.

Observer la vie en vous. Observez vos sensations. Elles sont dans votre souffle. Observez vos pensées. Elles sont en vous autant qu’à l’extérieur de vous. Elles sont dans les sons. Les émotions aussi, quelques instants, puis elles se rassemblent en un certain en droit dans votre cerveau. Parfois devant. Parfois derrière. Parfois, elles font mal. Parfois, elles sont comme une bonne bouffée d’air frais. Parfois, elles vous contraignent à revenir sur terre. J'ironise, vous ne serez jamais assez loin pour vous perdre. Vous pourrez toujours aller dans l’espace une autre fois.

Moi, c’est dans mon cœur que j’aime aller. Il apprécie encore tout de sa vie. Chaque battement, chaque seconde dont certaines, ces secondes, pourraient facilement être qualifiées d’horribles.

Mais, ce mot si étrange qui tente de m’imposer une interdiction d’être même prononcé dans une simple conversation, j’ai connu de ces secondes que je disais mériter d’être qualifiée de : seconde abominable, comme la Deuxième Guerre mondiale le fut, qui m’étonne encore d’émerveillements chaque fois que j’y repense. Imaginez un peu la scène. Au paroxysme de la douleur physique et mentale autant que morale, philosophique, religieuse et toutes ces maudites images ou images maudites pour être un peu plus précises, il leur aurait fallu être moins biaisées. Le ventre ouvert, les tripes à terre, je disais le plus beau des mots de tous les dictionnaires de toutes les langues des plus anciennes aux plus modernes, dès plus complexes langages de programmation machine au souffle des lèvres des bébés criants « j’ai mal ! » pour la première fois, merci. Merci de m’avoir tant aimé. Et des images envahissaient ma tête dont tous les centres de traitements étaient surchargés d’alertes aux dépassements des limites supérieures et inférieures de fonctionnements de tous mes organes.

J’étais tourneur-derviche, ma robe transformée, mon corps devenu plus grand. Je m’élevais dans les airs au-dessus de moi-même. J’étais sur le huitième tour remis au lit par les aulnes glutineux des anges qui avaient délaissé les cartes. Ma robe était comme les pétales d’une fleur de glace mince, d’un blanc opaque en même temps que transparent. Verre ou Crystal, un beau nom de femme. Mon coup de téléphone revient, réjoui de tant les aimer. Moi, c’est ton intelligence que j'apprécie. C’est la plus jolie photo qu’il me fut donné de voir ces quelques premières minutes de ma grande souffrance, qui dura des heures, des journées entières, des semaines, des mois. Neuf en fait. Quasiment comme une renaissance de gros bébé. Non, mais, cent deux mille kilos, quand même et j’exagère à peine. C’est à considérer comme achat pour ce type d’entreprise.

L’antre en train de m’éclater. Aucun ange de disponible au ciel. Tous trop occupés à jouer aux cartes avec mes réseaux neuronaux imprimés en petits trous sur des cartons I.B.M. première génération. Ne Cobol, je pense. C’est peut-être pour ça que le Bon Dieu a fait un homme d’affaires plus que riche. Pour moi, il avait une idée derrière la tête.

Des problèmes de collection au niveau d’entreprises internationales. Wow ! Merci Très Haut Supérieur hierarchique des patrons, de tous les saints et ils existent en deux versions, et nommée ces versions comme vous voudrez. Un saint, c’est un saint. C’est le genre de contrat qui m’intéresse. On va enfin s’amuser pour de vrai. Ça va saigner comme on dit. J’niaise pas avec le Puck moi. Pi le goualeur (9 bits), anglicisme ou pas, la rondelle ronde ou pointue, a va passer au travers. C’pas un problème. J’m’en calice, retourne au travail. Oui Boss, Très Haut, enfin, vous voyez ce que je veux dire. Bien sûr mon enfant. Si vous souhaitez rire de moi, je puis aussi vous trafiquer un peu.

Ah, je sais. La contrefaçon, ils s’en pensent les experts. Attendez que je leur montre les modifications que j’avais placées dans le code et qui se sont transmises d’une génération à l’autre dans toutes les versions. Ils vont paniquer.

Ils paniquent déjà. Pour brasser d’la marde, je suis l’expert, et je n’ai pas besoin de la télévision ou d’un criss de diplôme de lèche-cul. J’me torche avec tous les diplômes, quand celui qui s’en vante ne vaut pas le cul de mon chien en compétence, un expert du vocabulaire d’une science n’est pas un scientifique. Un peu comme toi tu te torches avec tous les experts. Que dis-je là ?

Bon. Faisons une sieste chère Dieuse.

Je me suis presque levé pour aller m’étendre dans mon lit. J’avais oublié que je ne suis pas l’histoire, mais l’écrivain.

Soyons honnêtes mon cher Watson, l’écrivain aussi est fatigué et a envie de faire une sieste. Tu sais aussi exactement qui tu es et c’est tout de toi, que j’aime, pas juste tes talents, juste est ce que tu en as fait.

Si l’éternité peut donc arriver que j’aie le temps de tout écrire, de tout faire.

Tu commences encore à te plaindre. Galimero ou Méray.

S’il y avait 48 heures par jour ou 72 et plus rapidement, les Sumériens pourraient bien s’adapter et l’on pourrait les faire travailler plus longtemps.

Ça, je l’ignore et je m’en fiche quasiment. Attendez un peu, je cherche ma fiche. Non, c’est faux. Ils mentent encore ici, et là, et encore ici, et encore là. C’est systématique dirait Sherlock.

Moi, c’est le son que j’aime.

Avis: Les personnes réelles que je présente ou dont je parle, ne savent pas nécessairement. Je parle de ce que je sais autant que de ce que je ne sais pas. (art. 19 Déclaration universelle des droits de l'homme.)