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La 4e dose, c'est la crucifixion. Ne manquera que la lance.

  • avecdieuseul
  • 31 oct. 2021
  • 2 min de lecture

J’étais en train de lire un fil sur Facebook ou les gens parlaient de prescience de prémonition de plus en plus fréquente, comme : « Moi, c’est la rapidité de mon cerveau qui m’étonne plusieurs fois chaque jour. Nous sommes tous en train de nous élever en conscience. Il y a plusieurs demeures en ma source et ma vie en est une, dont je suis fier. », « C’est l’enlèvement. Nos âmes crient et chantent la magnificence de l’œuvre. Nous sommes enlevés par le besoin d’aimer, par le besoin de dire merci pour sa vie. Je comprends mes erreurs. J’explique mes fautes pour que les autres s’y reconnaissent s’ils ont les yeux ouverts. »


Ce qui suit me fut inspiré par un article de Joshua Rivera intitulé « Vanished From the Earth » en date du deux mai 2021. J’ai trouvé cet article, alors que je cherchais une image représentant un homme sorti de ses chaussures, en train de s’élever vers le ciel.


Monsieur Rivere, ce qui signifie revivre, dit « En tant qu’enfant évangélique, j’étais terrifié par l’enlèvement — ​​et tout le monde que je connaissais l’était aussi. Des années après avoir quitté la foi, je voulais comprendre le pouvoir qu’elle détenait sur nous tous. »


Moi, lorsque j’ai vu l’image ou un homme était enlevé de ses bottines, je venais tout juste de me joindre à une église évangélique. L’on venait de me dire que moi qui me croyais déjà chrétien, — chez eux, ils n’y avaient qu’eux — déjà enfant de Dieu, m’avait-on dit par mon baptême, alors que lorsque j’y repense, ma foi en Dieu fais partie de qui je suis et n’a rien à voir avec un baptême. Dans cette église, bien entendu, on offrait le baptême. Ce, qui, dans les circonstances, devenait le besoin le plus essentiel que l’on puisse imaginer acquérir en quelque sorte. Puisque, m’avait-on dit, si l’on n’est pas enfant de Dieu, l’on est forcément enfant du diable. Certes, ma pensée philosophique n’était pas encore articulée, sinon j’aurais tout vu. Du coup, je me sentais désormais privé de toute famille. Non seulement au monde, mais dans l’univers. L’enfer m’était promis.


Voir ! La cruauté des pointes de fer s’enfonçant dans la chair de cet homme ! Les nerfs en feu dans l’agonie soutenue portée par leur morsure ! Imaginez le travail de ses poumons, qui menacent de s’effondrer à mesure que son corps pend, soutenu seulement par ces instruments d’affliction injuste ! L’état de choc que l’esprit endure alors qu’une couronne d’épines lui est enfoncée ! Des heures et des heures de la mort qui est la vie !


Ça me fait penser à une image que j’ai vue, où un homme avait plusieurs seringues de plantées dans le bras. Il y a quelque chose là-dedans, c’est tout le reste.


Plus je prends conscience de qui je suis vraiment. C’est-à-dire, la personne intime qui n’a jamais pu se dire et se faire entendre. Plus mes capacités cérébrales, se multiplient.


Ce travail d’introspection, je ne puis le faire qu’en m’éloignant du narratif de peur et de menaces qui règnent.







 
 
 

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