Le Gault est parfaitement abject
- avecdieuseul
- 20 oct. 2021
- 2 min de lecture
J’ai enfin atteint la perfection
Dans une perspective de ce cher Spinoza du déterminisme dans ma vie, les choses étant telles qu’elles furent engendrées par la convergence des énergies vibratoires de mes pensées avec les énergies vibratoires des pensées de tous mes semblables.

Plus précisément de toutes les versions de moi-même qui fut nommé Adam au départ de toute l’histoire et sachant qu’Adam était « Ève et Adam » avant d’être séparé d’Ève, de la moitié de lui-même, avant d’avoir été séparé, donc à l’époque où il était, où j’étais, où nous étions unifiés et où la dualité n’existait pas.
J’étais parfait et le suis toujours dans la représentation mentale que je me fais de Dieu, car sa représentation me ressemble.
Anciennement lorsque j’allais dans une épicerie, un magasin général, une boutique, un bureau de poste, une pharmacie, une clinique médicale, un hôpital, je me sentais bienvenue.
Depuis La Gault, Guilbault, Dubé, on me dit « chez Wal-Mart » de ne plus revenir si ma détresse respiratoire chronique m’empêche de porter un masque, au bureau de poste on me demande de remplir moi-même le coupon de l’enregistrement d’un courrier « première fois en 75 ans », la secrétaire de mon médecin de famille m’offre un rendez-vous téléphonique, ailleurs on m’interdit certains produits. Je n’ai pas le droit d’aller dans les restaurants. Les églises sélectionnent qui aura droit de participer au service du dimanche matin où l’on doit enfiler un masque pour chanter des louanges à Dieu. À l’hôpital, j’ai été déclaré pestiféré par le premier ministre. Je devrais parler plus d’un être abject, mais disons qu’il est parfaitement abject étant donné mon approche à la Spinoza du déterminisme. Je ne puis rien changer au présent, donc je l’accepte « comme si » je l’avais créé entièrement moi-même consciemment et volontairement.
Je suis vieux. Ça constitue mon crime, j’avoue et crissez-moi patience !
C’est comme si le gang de mangeux d’marde du gouvernement et ses millions de sales collaborateurs me disaient : « Débarrasse, crève au plus calvaire, on ne veut plus de toi ici. Tu prends nos jobs. Et, pourtant, ma pension je l’ai payé avec ma sueur et mon sang.
Si je fais une crise de foie, des pierres aux reins, une crise cardiaque, une crise d’emphysème. Je dois me laisser mourir sans appeler les services d’urgences que j’ai payés. Si même je devais crier durant des heures. Vous m’avez déjà tous envoyé chier !
Eh bien ! si ça arrive, vous allez m’entendre crier pour les dix prochaines années dans vos commentaires, vos journaux de merde et quelques livres.
Personne ne pourra me toucher ni même m’approcher. Je suis blindé.
Serge-Carmel Bourget
Comments