Le Noël le plus heureux de toute ma vie.
- avecdieuseul
- 27 déc. 2021
- 6 min de lecture
Dernière mise à jour : 27 déc. 2021
Je m’amuse un peu sur Twitter et puis après, je vous parle de mon Noël, le plus beau et le plus heureux de toute ma vie. Aussi de toute ma visse et tous mes avis.
Écoutez cette plus que belle musique de Noël. Elle est enchantée par les anges qui vous accompagneront dans votre lecture au fil, donc de vos émotions et des pensées qui vous traverseront l'esprit.
Comment se fait-il que tu te saches nu, de dire Dieu à Adam et Ève ? C’est facile, nous avons pris le temps de nous regarder sans les criss de poutre dans les yeux.
Quelqu’un dit…
On rendra un jour justice à Emmanuel Macron d’avoir, après quelques tâtonnements initiaux, tenu remarquablement la barre au cœur d’une épidémie que personne n’avait prévue et dont personne ne connaît le terme. Mais, électoralement, il le paiera peut-être cher.
Sur le plan cosmique, c’est pleinement possible. Le bien et le mal convolent en justes noces. Tout en cet univers n’étant qu’énergie, un jour ou l’autre l’harmonie des ondes se fait tout naturellement. https://music.youtube.com/watch?v=wVua10hv4V0&feature=share
UN autre dit,
En Géorgie (É.-U.), 50 % sont vaccinés et + de 80 % des hospitalisations sont pas vacciner. 100 % des patients SI ne sont pas vaccinés. Le Québec se porte très bien grâce à son % de vaccination élevée. Rien ne changera le fait que la vaccination est la voie du retour à la normale.
Quand on ne trouve qu’une médecine qui doit être imposée de force, c’est que l’on est du type dictateur. Mme si l’on occupe qu’un poste de commis de pharmacie. Su tu veux la guerre civile aussi. Un peu de raison serait la bienvenue. Vous ne forcerez jamais les loups à devenir mous de la tête, comme vous.
Elle insiste...
Mon p’tit lutin préféré prépare le party pour @francoislegault, @cdube_sante, @ArrudaHoracio, @GGuilbaultCAQ, @DomAnglade, @ManonMasse_Qs, pis toute la gang de MOUS qui se sont aplatis devant l’élite mondialiste.
Après, il ira visiter les vendus de journaleux.
Joyeux Noël ! Visage en fête
Ce mol édredon sous rayons X « les moins pénétrants » remplit de duvet d’oie ou d’eider, de plume, et de façon plus récente, de fibre synthétique noire d’uniques atomes, vous ne nous le fourberez jamais. I spore ! Pardon, SPOKE
Quand même curieux. Je ne vois plus que des profils intéressants. C’est comme dans l’histoire des talents artistiques, non ?
Je ne publie pas tout ce que j’écris. Enfin, à la même place.
Il faut un pied solide pour imposer la vacillation à tout le monde et simultanément aux loups.
Un suiveur Twitter…
Dark to light.
Dans tous les domaines.
Ce qui était caché avant est en pleine lumière ajd.
Les dangers de la médecine moderne.
La corruption.
La pédophilie.
La fraude.
Les fakenews.
La propagande.
La dictature.
Réconcilie.
J’oserai affirmer que ces dangers existent depuis avant la chaloupe du père Noé et toute l’histoire le démontre.
Deux fascismes oui. Le fascisme corporatif qui se laisse corrompre à tous les niveaux. Je suis juif, chrétien. Musulman. Hindou et bouddhiste et je puis vous affirmer que la dictature de la pensée est à l’origine, religieuse. Nous devons le comprendre.
C’est finalement le premier des Noëls heureux de toute ma vie. Ça en a pris 75, de désastreuses applications de principes pratiques et théories. On avait tous oublié de s’aimer réellement. Il aurait suffi de se parler en se regardant dans les yeux de l’autre. Certaines mésinterprétations pourraient survenir à l’occasion. Il n’y a aucun danger quand l’autre veut aussi. Mais on avait tous peur d’être gênés devant tout le monde. Je préfère les Noëls d’écrivains. On peut y changer le monde et en faire le paradis des paradis pour tout le monde. C’est ce que je suis en train de faire. Soyez patient.
J’ai commencé à envoyer des lettres au Père Noël et, comme je le connais personnellement, je sais comment il va répondre. Attention, il n’est pas le gros plein de... vous savez quoi ni un suppo de Satan. C’est un homme de Dieu pour de vrai lui… J’y pense… L’an dernier, il m’a enseigné que nous le sommes tous... mais, je ne me rappelle pas qui au juste…
C’est que j’ai perdu le fil d’Ariane de mes idées… Ça m’arrive souvent quand je suis en train d’écrire au Père Noël…
Je suis entrain quand même, mais en train de me demander… C’est qui ou qui est-ce, le père de Père Noël… Ça n’est pas moi, ça, c'est certain. Non, mais, c’est un bon départ, un bon départ quand même…
C’est que je suis vieux et quand j’entends dans ma tête le mot départ, ça me change les idées. J’aurais tellement aimé tout faire et j’ai encore tant de fardeaux à porter…
Si vous saviez ce que les enfants du monde me racontent comme besoins… Ce qu’ils voudraient ou aurais, voulus pour leurs parents…
Des maisons… Il y a des parents qui, encore aujourd’hui, crèvent de faim. Ils crèvent de faim devant leurs enfants. Et les enfants pleurent des larmes de... je n’ose le dire tout haut... Je vais le dire quand même. Il faut que je le dise. C’est-à-dire, qu’il ne faut pas comme si c’était une corvée. Mais parce que je crains ou j’ai peur, quant à ça, c’est comme vous voudrez... je crains de faire peur aux grands quand je dis de telles vérités.
Le sang, ça fait peur.
Le sang, ça ne craint rien sauf les aiguilles.
Dans le fond, ce ne sont pas les aiguilles que le sang craint. C’est ce qu’elles contiennent que le sang craint pour mourir. J’aurais pu révéler tout simplement que le sang craint ce que les aiguilles contiennent. Je crains de faire des fautes quand j’écris et ça me fait un peu trembler. Pas vraiment moi, mais mes doigts. C’est une peur complexe. Heureusement que mon père est mathématricien...
Puis, il redressa la tête comme s’il avait eu surpris une pensée s’envoler de sa tête. Ça ne lui en fait pas deux tout de même, mais il y a en deux dans la phrase qui précède. Lança-t-il à Germaine qui réside encore dans sa tête bien entendu ?
Les cloches de Noël résonnaient. Germaine raisonnait. Dès fois, c’était le contraire. Encore et toujours dans sa tête. Eh oui. Toujours dans sa tête. Non, ça ne lui en fait pas trois.
Mais, c’est comme ça qu’il résonne... raisonnablement, devrait-on dire me rappelle Sœur Angèle qui me disait que j’étais une cloche. C’est probablement pour ça qu’ils n’ont pas réussi à me l’enfoncer. Non pas la cloche, mais la tête.
Oh oh oh, j’entends le Père Noël.
Peuple à genoux, apprend ta délivrance des lèvres de mon écrivain préféré comme les autres. Et il se mit à rire, d’un faux rire, comme pour plaire à quelqu’un, mais il ne sait pas qui ?
Il y en a tellement un grand nombre autant que des légions de démons dans sa tête qui écrivent tous, sans exception au Père Noël... Il en perd le latin qu’il n’a peut-être jamais appris, se dit-il. Lorsque soudain…
Le premier Noël où l’on est heureux, ça n’est quand même pas rien. Il se rappelait ses discussions avec Lionel Logue, je crois, savez celui qui enseigne au roi George VI à vaincre ses beuglements et bégaiements en le faisant chanter les secrets de sa vie dont il n’avait jamais parlé à personne…
Lui, c’était la même chose. Sa timidité, la crainte d’être vu qui lui venait des abus sur son corps lorsqu’il était bébé au berceau… Il n’en avait jamais été complètement guéri.
Mes horloges digitales commencent à s’aligner comme les aiguilles d’une montre à aiguilles à huit heures moins le quart… Le sang commence à se tendre vers la sortie…
Apprends tes délivrances, une à une s’il le faut et elles sont prononcées à jamais pour tous les peuples de la terre, oui même ceux de vos ennemis, eux aussi le méritent puisqu’il est gratuit.
Finalement, peut-être que c’est sept heures moins le quart.
On va se regarder l’un dans l’autre. Encore là, il convient de s’entendre me disent mes conseillers et ce sont des conseillers de très hauts titres. J’ai toujours tenté de m’assurer de la formation des gens, mais même les professionnels, ici au Québec, ceux que j’ai rencontrés à mon pauvre niveau d’intervention, se sentaient insultés à la moindre question. Cela aussi devra changer dans notre Nouveau Monde.
Si vous êtes en manque d’idées, ne me demandez pas d’en rajouter, je les ai toutes rassemblées dans un petit coffret blanc celui de mon cœur d’enfant. Sur un beau coussin rouge satin ou soie, je ne sais trop plus... Soie, je veux de la soie parce que je pense à mes petits vers à soie bien entendu. Une soie sans tache, un soyeux doux…
Je pense à une petite Claudette depuis hier…
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