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Quelques pensées en images 13 mars 22

  • avecdieuseul
  • 13 mars 2022
  • 2 min de lecture



Qu'est-ce qui est réel ?


Les crises apocalyptiques depuis ma naissance, c'est un cycle. Celle-ci est la plus puissante. 


Je suis libre de faire tout ce que je peux faire, comme toujours et comme toujours, je n'y peux rien d'autre que de voter pour rien. Ça n'a jamais changé.


Moi, si. Je puis choisir de faire comme si l'on était dans le temps de Noël, au chalet. Belle neige. Jolie musique. Sympathique ambiance. Personne n'est malade. Tout mon monde va bien. Surtout, j'ai le temps pour ce que j'ai envie de faire. Je n'ai plus envie de rien. C'est ça le problème. De plus, je ne veux plus voir le monde. Le sommeil est devenu pour moi, comme le placard ou ma mère me cachait et où je me suis déjà moi-même caché en crise de panique totale alors que je croyais être la proie d'une bête immonde. Un refuge contre le danger, la porte et les colis comme barricade.


Non pas pour m'attrister, mais pour me rejoindre au présent. Il me faut passer par là où l'un de me "je suis" se trouve émotionnellement et lorsque je ne suis pas très bien, il y a de forte chance que mon esprit surfeur erre dans un territoire d'anciennes souffrances. 


La peur de manquer. La peur de perdre. La peur d'être seul, de n'avoir personne à qui parler. La peur de souffrir, d'agoniser, d'expier sans même pouvoir y prendre plaisir. Les peurs domestiques, les peurs sociales, les peurs intimes dont on ne parle avec personne.


Seul face à Dieu, seul face au diable. Seul face à Dieu, ce n'est pas si pire. Seul face au diable devenons un peu fou, mais l'audace est un petit péché pour certains.


De toute manière, il doit bien s'ennuyer tellement de crimes se commettent au nom de Dieu, il a dû s'habituer au chômage.


Être seul, c'est être seul face à tout.


J'imagine être face au diable dernier habitant des enfers et j'ai tous les pouvoirs. Alors, je l'absous de tous péchés, car rien ne pourrait être ce qu'il est aujourd'hui sans avoir été ce qu'il était hier.


Ça n'intéresse personne ce genre de discours. Des bouts d'histoires sans queue ni tête. 


Dans un monde de signes tout est un signe, une information auditive, visuelle ou autre. Certains ont un sens bien précis et d'autre au contraire perdent même le sens de leur raison d'être.


Il y a ceux que nous chargeons d'une mission et qui disparaissent lorsque mis en doute et les évènements eux, qui ne peuvent survenir que sur commande de déclenchement comme un bruit particulier qui change le cours des choses parce que interprété de manière différente pour chacun.







 
 
 

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