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"Un vieux, ça pense" disait un humoriste.

  • avecdieuseul
  • 30 oct. 2021
  • 2 min de lecture

La veille de l’Halloween Mme Poopfire



Vous ne verrez pas cette vieille personne — cette Boomer comme certains disent avec mépris —, mais vous pourrez reconnaitre dans l’effort physique et mental qu’elle a fourni pour créer cette courte vidéo, dans le but évident d’aider de purs inconnus, de potentielles personnes à qui cette transmission de la connaissance pourrait servir et combler le besoin de chacune des celles de son corps de transmettre la connaissance. Comme si c’était ça le but et le sens de la vie de ces entités vivantes, puisque la connaissance, quand elle cherche la vérité : elle la trouve et donc créé ainsi la conscience de ce qui est. Je sais que la chose existe, ça, c’est la connaissance. Je sais et je tiens compte dans chacune de mes actions et pensées de ce que je sais, et ça change le monde entier.


Albert rétorque : oui, mais le monde reste ce qu’il est avec toutes ses horreurs.


Bien sûr Albert, c’est parce que tu continu de le regarder avec ce que tu sais, sans en tenir compte dans tes actions et tes pensées.


Comment ça ? de dire Albert.


Te sais par exemple, que : le manque d’exercice physique raccourci potentiellement la durée de ta vie, puisque c’est l’une des premières causes de crise cardiaque et pourtant, tu n’arrives pas à te motiver pour effectuer quelques exercices physiques que ce soit autre que le minimum.


C’est vrai, tu as raison.


Je sais que Dieu me protège. Dans ma conscience, il n’y a aucun doute. Mais, je ne suis pas toujours conscient. Le stress, l’insécurité. Comme lorsque ma porte n’était pas sécurisée. Je ne puis me concentrer sur autre chose que sur le potentiel de danger et donc, ce n’est pas à Dieu que je pense. Je m’efforce d’y penser en même temps que j’ai peur, mais je n’y arrive qu’avec un très grand niveau de sécurité physique. Le i grec a gagné.


En tout premier lieu, c’est ce à quoi sert le corps que de protéger l’esprit qu’il habite. Suivent ensuite les habitants et les sociétés de droit, de droit positif.


Que nous reste-t-il ?


Si l’on nous enlevait tout, il ne nous resterait que ce qui est en nous, notre façon de penser. C’est ça l’esprit.


Or donc, c’est elle que je dois changer.


C’est mon premier article. J’espère que vous serez indulgents.


Mme. Poopfire



 
 
 

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